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DIRECT. Législatives: le "Nouveau Front Populaire" annonce avoir "scellé" un "programme de gouvernement"

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A 17 jours du premier tour des législatives, les négociations pour le "Front populaire" ont été suspendues ce jeudi à la mi-journée, en raison d'un blocage sur les attributions des circonscriptions, avant de reprendre. A droite, Eric Ciotti et Jordan Bardella finalisent une liste de candidats LR soutenus par le RN. Emmanuel Macron a appelé à un large "rassemblement" autour de son camp pour défaire La France insoumise et le Rassemblement national.

Les Républicains: plus de 200 candidats investis

La commission nationale d’investiture des Républicains a déjà investi plus de 200 candidats.

Nouveau Front Populaire: une conférence de presse demain

Le Nouveau Front Populaire tiendra une conférence de presse demain à 12H à la maison de la chimie à Paris.

François Hollande favorable à l'accord du Front Populaire

"C'est à la gauche de faire son devoir. Son devoir c'est de faire l'union", a déclaré François Hollande.

"Il y a un accord ce soir. Pour moi ce qui est esssentiel est que l'union ait pu se faire."

Dissolution de l'Assemblée: une décision "au pire moment et dans les pires circonstances", critique Hollande

La décision de dissoudre l'Assemblée nationale "intervient au pire moment et dans les pires circonstances", a déploré l'ancien président François Hollande jeudi soir sur TF1, en appelant à faire barrage à "l'extrême droite" aux législatives des 30 juin et 7 juillet.

L'ancien chef de l'Etat a indiqué qu'il approuvait l'accord scellé à gauche par le "Nouveau Front Populaire". Il a plaidé, au second tour, pour un soutien aux candidats les mieux placés pour "éviter l'extrême droite", même s'ils sont "LR ou de la "majorité" présidentielle, défendant un "principe de désistement" de la gauche le cas échéant.

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Nouveau Front Populaire: un accord trouvé

Les forces de gauche réunies dans le "Nouveau Front populaire" ont annoncé jeudi soir, après quatre jours de négociations, avoir "scellé" un "programme de gouvernement".

"Avec un programme de gouvernement et des candidatures uniques dans les circonscriptions de France, les forces politiques qui ont constitué le nouveau Front populaire donnent rendez-vous aux Françaises et aux Français les 30 juin et 7 juillet prochains", écrivent le PS, le PCF, les Ecologistes et LFI dans un communiqué commun.

"Nous avons réussi. Une page de l'Histoire de France s'écrit, s'est réjoui sur X le premier secrétaire du PS Olivier Faure alors que le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon a salué "un événement politique considérable en France".

Plus d'informations ici.

Emmanuel Macron affirme que les Français ne voudront pas de dirigeants "qui ne sont pas prêts du tout"

Emmanuel Macron pense que les Français vont "intégrer les Jeux olympiques" de Paris "dans leurs choix" aux législatives anticipées et ne voudront pas de dirigeants qui ne "sont pas prêts du tout", a-t-il déclaré jeudi devant la presse, en marge du G7 près de Bari en Italie.

"Je pense qu'ils n'ont pas envie d'avoir des Jeux olympiques qui se présentent mal" et qu'ils seront "attachés à ce qu'il y ait une continuité" avec des responsables "qui ont préparé ces jeux" et "pas des gens qui ne sont pas prêts du tout", a-t-il lancé en visant implicitement son adversaire du Rassemblement national, Jordan Bardella, qui pourrait accéder à Matignon.

Emmanuel Macron "touché" par la défaite des européennes

"Je l'ai pris pour moi, ça m'a touché", a déclaré Emmanuel Macron au G7, alors interrogé sur les résultats des européennes.

"Ça m'a pas fait plaisir dimanche. ça fait sept ans que je travaille comme un fou pour le pays aille mieux, que les réformes avancent, donc je l'ai pris pour moi, pour cette majorité."

Dissolution de l'Assemblée nationale: Macron "ne croit pas" être affaibli à l'international

Emmanuel Macron ne "croit pas" être affaibli à l'international, a-t-il souligné au G7 près de Bari en Italie, en assurant que ses homologues ont jugé "courageu(se)" sa décision de dissoudre l'Assemblée nationale en vue de législatives anticipées. 

"Mes interlocuteurs sont tous des élus démocratiques. Ils ont tous dit: 'C'est courageux'", a-t-il affirmé devant des journalistes. L'aide à l'Ukraine sera-t-elle menacée en cas de cohabitation avec le Rassemblement national ?

"La parole de la France est engagée par le président de la République", a-t-il répondu.
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Crise à LR: le parti reporte à vendredi le bureau qui devait "valider" l'exclusion de Ciotti

Les Républicains ont reporté à vendredi "pour des raisons d'organisation" le bureau politique qui devait valider en fin d'après l'exclusion du président Eric Ciotti après son alliance électorale avec le RN lors des législatives du 30 juin, a indiqué jeudi le parti.

Après une première réunion qui a voté mercredi l'exclusion à l'unanimité -décision contestée devant la justice par M. Ciotti- le bureau politique devait se retrouver en visio en fin d'après-midi pour "légitimer" cette décision.

Les francs-maçons disent "non" à l'"idéologie de haine" de l'extrême droite

Les principales obédiences maçonniques françaises lancent un appel commun pour dire "non à l’inéluctabilité de la victoire de l’extrême droite" et de "son idéologie de la haine", dans un communiqué publié jeudi.

"Les francs-maçons, résistants de tout temps à l’hydre haineuse de l'extrême-droite, fidèles aux idéaux de liberté, d’égalité, de fraternité, de laïcité, se lèvent, déterminés à prendre part dans la reconstruction d’un espoir républicain pour tous", affirme cet appel commun.

Manifestations ce week-end contre l'extrême droite

A l'appel de cinq confédérations syndicales et de nombreuses associations, l'ensemble de la gauche défilera ce week-end à travers la France dans l'espoir de créer une mobilisation des électeurs pour empêcher l'avènement d'une majorité d'extrême droite à l'Assemblée nationale.

Le Rassemblement national a le vent en poupe pour les élections législatives des 30 juin et 7 juillet, avec 31% d'intentions de vote au premier tour, devant l'alliance de gauche à 28%, selon un sondage Elabe réalisé pour BFMTV et La Tribune Dimanche.

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Front populaire: l'accord devrait bientôt être finalisé

L'accord entre les partis de gauche devrait bientôt être finalisé. Les négociations se poursuivent mais "il est question des dernières virgules", selon les informations du service politique de RMC.

(CP)

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La justice examinera demain matin le recours d'Eric Ciotti contre son exclusion du parti

La justice examinera demain matin le recours d'Eric Ciotti contre son exclusion du parti, annonce l'AFP citant une source judicaire.

Le président des Républicains (LR), Eric Ciotti s'adresse aux médias alors qu'il quitte le siège du parti, le 13 juin 2024 à Paris
Le président des Républicains (LR), Eric Ciotti s'adresse aux médias alors qu'il quitte le siège du parti, le 13 juin 2024 à Paris © STEPHANE DE SAKUTIN © 2019 AFP

Front populaire: "On avance", assure Marine Tondelier

La secrétaire nationale EELV Marine Tondelier, vient d'écrire sur X "on avance!", à propos des négociations entre les partis de gauche afin d'aboutir à un accord dans le cadre du Front populaire.

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Jean-Luc Mélenchon ne débattra pas avec Gabriel Attal et Jordan Bardella

Le chef de file de LFI a annoncé sur X qu'il ne débattra pas avec Gabriel Attal et Jordan Bardella, qui mènent respectivement la campagne pour la majorité présidentielle et le Rassemblement national.

L'ancien candidat à la présidentielle, qui a affirmé hier sur France 2 "se sentir capable" d'être Premier ministre toutefois "sans s'imposer", a justifié sa décision du fait que le Front Populaire "n'a pas encore désigné son candidat Premier ministre". "C'est donc aux chefs des grands partis de notre coalition d'aller à ce type de débats", selon lui. À savoir Olivier Faure pour le PS, Fabien Roussel pour le PCF, Marine Tondelier pour EELV et Manuel Bompard pour LFI.

Lire l'article ici.

Eric Ciotti revendique le soutien de 60.000 signataires pour "l'union des droites"

Le président déchu des Républicains - mais qui conteste la décision du bureau politique et s'accroche à son poste - revendique le soutien de 60.000 signataires en faveur de l"'union des droites", après son accord contesté avec le RN dans le cadre des législatives anticipées.

Le député des Alpes-Maritimes a notamment déjeuné avec Jordan Bardella aujourd'hui et s'est rendu ce matin à son bureau au siège des Républicains place Bourbon, malgré son éviction la veille.

"J’ai fait le serment ce lundi que nous resterions unis jusqu’à la victoire", assure Fabien Roussel

Alors que les négociations entre forces de gauche patinent, Fabien Roussel a assuré sur X il y a une heure qu"'ils [allaient] accomplir cet exploit". Sur TF1 à 13h, le secrétaire national du PCF a dit être "beaucoup plus optimiste" que ce matin.

"Ce n'est pas la même élection", Gabriel Attal ne croit pas à un score similaire aux européennes

Gabriel Attal souligne que les législatives ne sont "pas la même élection". "L'objectif est de choisir une majorité qui gouvernera le pays."

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Gabriel Attal "favorable" à un débat avec Jordan Bardella et Jean-Luc Mélenchon

"On est dans un moment difficile, il faut aller convaincre les Français", dit le Premier ministre en campagne aux journalistes présents dans le Pas-de-Calais. "Je ne suis pas du genre à baisser les bras. Il y a eu une dissolution, il y a une campagne, j'y vais à fond."

"Il y a des propositions qui circulent, mes équipes ont été contactées par des médias", confirme Gabriel Attal. Il se dit "favorable" à un débat avec Jordan Bardella et Jean-Luc Mélenchon, qui représenteraient les deux autres "blocs".

Lire l'article ici.

Carole Delga assure que "Jean-Luc Mélenchon ne sera pas Premier ministre"

Carole Delga, présidente PS de la région Occitanie, indique dans un communiqué: "En aucun cas, Jean-Luc Mélenchon ne sera Premier ministre. La gauche, je le crois, a assez de talents (...) pour bâtir une nouvelle équipe."

Hier, le leader de LFI avait dit ne pas "s'éliminer" mais ne pas "s'imposer".

Le RN joue au "Père Noël", selon Gabriel Attal

Le Premier ministre a accusé le Rassemblement national de faire de fausses promesses, en déplacement: "Vous avez des partis politiques qui classiquement se disent 'ah il y a une élection qui arrive, il faut faire les Pères Noël, on va leur vendre du rêve en leur racontant n'importe quoi."

En campagne pour les législatives, Gabriel Attal affirme que les réformes mises en place depuis 2017 ont permis de sortir "du chômage de masse"

Sur la réforme des retraites, il souligne que le RN a promis de l'abroger depuis "deux ans" avant de s'être ravisé récemment. Jordan Bardella avait dit vouloir revenir sur ce point en cas de victoire mais "dans un second temps".

Le ministre des Affaires étrangères candidat

Stéphane Séjourné, actuel ministre des Affaires étrangères, sera candidat de son groupe, Renaissance, dans les Hauts-de-Seine.

L'ex-ministre Damien Abad se représente malgré sa mise en examen

L'ancien ministre Damien Abad, mis en examen pour tentative de viol, a confirmé se représenter dans sa circonscription de l'Ain, où le RN est arrivé largement en tête lors des Européennes, comme l'a révélé BFMTV. "Je pars en candidat divers droite sans étiquette", a indiqué le député apparenté Renaissance.

Front populaire: une conférence de presse prévue dans les prochaines heures

Une conférence de presse du Front populaire, dont les négociations ont repris, est prévue dans les prochaines heures.

(CP)

Front populaire: les négociations ont repris

Après avoir été suspendues, les négociations ont repris entre les partis de gauche pour la constitution du Front populaire aux législatives. Une suspension qui a été "constructive", selon une source.

(CP)

Jean-Luc Mélenchon reste positif pour le Front populaire

"Tout se met en place. En quatre jours, la gauche accomplit un exploit. Elle est à la hauteur du moment. Pas d'impatience. Le travail est délicat. Les équipes de négociation font du bon travail. Bravo à elles!", écrit Jean-Luc Mélenchon sur X.

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Front populaire: pourquoi les négociations sont suspendues

A gauche, les négociations entre les quatre partis pour le "Front populaire" sont suspendues. Les dirigeants socialistes et insoumis se disputent les meilleures circonscriptions, là où les probabilités de l’emporter sont les plus fortes. Ce n’est pas la question du nombre de circonscriptions qui pose problème, puisque cela a déjà été tranché ce mercredi, mais la qualité. Car il est plus facile de gagner pour un candidat de gauche en Seine-Saint-Denis qu’à Neuilly-sur-Seine, par exemple. Et donc PS et LFI s’accusent l’un et l’autre d’être trop gourmands. C’est ce qui explique ce blocage absolu, sans nul doute le plus important depuis le début de la semaine. De là à tout faire capoter? Difficile de le dire… L’objectif encore affiché en début de matinée était d’arriver à un accord à la mi-journée, pour un seul candidat de gauche dans chaque circonscription. Pendant ce temps, communistes et écologistes s'impatientent. Aucune heure de reprise des discussions n’est établie.

(CP)

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Valérie Rabault propose une femme à Matignon

La députée PS sortante Valérie Rabault propose de nommer une femme en cas de victoire du Front populaire. "Dans la perspective du rassemblement dans le Front populaire, une candidature féminine au poste de Première ministre aurait beaucoup d'atouts !" écrit-elle sur X (ex-Twitter).

Interrogée par l'AFP, elle a cité les noms de la présidente de la région Occitanie Carole Delga, de la députée de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain, et "pourquoi pas" elle-même.

Eric Ciotti se met en scène dans son bureau

Dans une vidéo publiée sur X (ex-Twitter), celui qui se réclame toujours président du parti Les Républicains se montre en train de se mettre "au travail pour la France", avec une musique épique en fond.

Adrien Quatennens lance un appel aux féministes, Aurore Bergé et Carole Delga réagissent

Adrien Quatennens, condamné pour violences conjugales, a fait circuler à ses proches un texte anonyme et rédigé en écriture inclusive appelant les "femmes, de gauche, féministes" à soutenir sa candidature, rapporte L’Opinion. Selon ces informations, l'élu a transmis à des femmes de son entourage un texte intitulé "Nous, femmes et féministes, soutenons la candidature d'Adrien Quatennens". Ce texte indique que le député insoumis veut "défendre avec humilité les principes féministes et d’égalité femmes-hommes".

"L’indécence a un nom", a réagi la ministre chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes, Aurore Bergé.

"L’union autour du "Front populaire" oui. Au prix de nos valeurs, certainement pas", a réagi Carole Delga (PS), la présidente de la région Occitanie et présidente des régions de France.

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François-Xavier Bellamy fera "barrage à LFI"

En cas de deuxième tour des législatives anticipées entre un candidat de La France insoumise et un candidat du Rassemblement national, l'eurodéputé LR François-Xavier Bellamy fera "barrage évidemment à La France insoumise", assure-t-il sur Europe 1.

"Notre défi, c'est d'éviter que la France tombe dans cette nouvelle alliance d'extrême gauche."

Yannick Jadot indique que "Julien Bayou ne sera pas investi par Les Écologistes"

"Julien Bayou n'aura pas l'investiture du Front populaire" aux élections législatives "parce qu'il s'est mis en retrait du mouvement" Les Ecologistes, indique l'ancien candidat à la présidentielle et sénateur écologiste Yannick Jadot sur Public Sénat.

Concernant Adrien Quatennens de LFI, ce cas "sera résolu dans les heures qui viennent", ajoute-t-il.



LR convoque un nouveau bureau politique pour "valider l'exclusion de Ciotti"

Le parti Les Républicains (LR) a convoqué ce jeudi un nouveau bureau politique "pour valider" l'exclusion de son président Eric Ciotti approuvée la veille par cette même instance, a-t-il indiqué dans un communiqué.

"Nous avons très largement recueilli plus du quart des signatures des conseillers nationaux LR qui maillent le territoire national, démontrant que les cadres, les militants et les adhérents ne cautionnent pas un accord avec le RN", assure le parti dans un communiqué, ajoutant que "la fin est proche" pour Eric Ciotti.

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Jordan Bardella et Eric Ciotti vont finaliser la liste des candidats LR-RN, de premiers noms filtrent

Jordan Bardella et Eric Ciotti vont finaliser ce midi la liste des candidats LR soutenus par le RN. Ils décideront aussi de la scénarisation de la publication de la liste. Photo, communiqué ou conférence de presse? Rien n'est encore décidé.

Il y aura, dans les candidats soutenus, des hauts fonctionnaires comme Charles Prats, d'anciens préfets, des élus locaux, des maires comme Brigitte Barège (Montauban) et Gilles Bourdouleix (Cholet), ainsi que des Jeunes Républicains, à l'instar de leur président Guilhem Carayon et de Bartolomé Lenoir, président des Républicains dans la Creuse.

(JT)

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Quel Premier ministre pour la gauche? François Ruffin "se sent capable", Fabien Roussel se place

Au lendemain d'une déclaration similaire du leader de LFI Jean-Luc Mélenchon, le député François Ruffin assure qu'il se "sent capable" de mener un gouvernement, dans le cas de victoire de la gauche aux élections législatives anticipées. Fabien Roussel s'est aussi positionné.

>> Plus de détails dans notre article.

Bruno Le Maire attaque le programme du RN

Le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, tacle le programme économique du RN sur Sud Radio ce matin.

"Le Rassemblement national se fout de la gueule de ses électeurs ! Il ne fera rien au pouvoir ! Ils vous enfument !"

"Tout candidat qui fera alliance avec le RN sera viré" de LR, prévient Florence Portelli

La vice-Présidente des Républicains, Florence Portelli prévient sur France Inter que "tout candidat" de LR "qui fera alliance avec le Rassemblement national sera viré" du parti.

Eric Ciotti a une attitude "individualiste et immorale", selon elle. "Il sait très bien que jusqu’à dimanche, on doit investir des gens, parce que c’est la date limite. Et il n’en a rien à cirer !"

Eric Ciotti "toujours président", selon Guilhem Carayon

Rare fidèle d'Eric Ciotti après son alliance avec le RN, Guilhem Carayon, assure sur BFMTV qu'il est "toujours président des Républicains parce que le bureau politique qui l'a exclu n'est pas légal".

Après son exclusion de LR, Eric Ciotti indique que "le tribunal judiciaire de Paris est saisi"

"Le tribunal judiciaire de Paris en ce moment même est saisi par référé", indique le député sortant des Alpes-maritimes selon BFMTV, après la décision du bureau politique de LR de l'exclure du parti. Une décision qu'il conteste.

Eric Ciotti a accédé au siège de LR, près de l'Assemblée nationale. Il doit déjeuner avec le président du RN Jordan Bardella ce jeudi, d'après BFMTV qui confirme une information de France 2.

Le premier tract de campagne de la majorité présidentielle avec Gabriel Attal... et une faute d'orthographe

La majorité présidentielle, Ensemble, vient de publier son premier tract de campagne, avec une seule personnalité visible: Gabriel Attal, le Premier ministre. Et au verso... une faute d'orthographe.

Plus d'informations ici.

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Fabien Roussel se place dans la course

En cas de victoire aux élections législatives anticipées et de proposition d'un Premier ministre: "Nous sommes plusieurs. Bien sûr, j'en fait partie comme d'autres", déclare le secrétaire national du Parti communiste français sur RTL.

"Ce qui compte aujourd'hui, c'est d'abord de présenter aux Français notre programme, d'avoir une majorité et le plus de députés possible."

Fabien Roussel affirme que la gauche n'"exclut personne" en hypothétique Premier ministre

"Pour le front populaire, il faudra un Premier ministre populaire, rassembleur, bienveillant, qui parle à tout le monde", indique le secrétaire national du PCF sur RTL. Comme Jean-Luc Mélenchon? "Je ne veux éliminer personne", assure le député sortant du Nord.

"Nous n'excluons personne aujourd'hui. Nous sommes d'abord en train de travailler sur le programme, sur l'engagement que nous avons pris de présenter un ou une candidate dans chaque circonscription."
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François Ruffin se sent "capable d'être Premier ministre"

Interrogé par un auditeur lui demandant s'il souhaitait être Premier ministre: "Je m'en sens capable. Si jamais il y a un consensus sur un nom, je suis prêt à prendre la place qu'on voudra pour transformer la vie des gens", répond François Ruffin sur France Bleu Picardie ce jeudi.

Le député sortant Picardie Debout, appartenant au groupe LFI à l'Assemblée, est candidat à sa réélection dans la première circonscription de la Somme, où le RN est arrivé largement en tête dimanche dernier lors des élections européennes. "On va gagner partout", assure-t-il.

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Manuel Bompard temporise sur Jean-Luc Mélenchon

"Que Jean-Luc Mélenchon soit capable" de devenir Premier ministre, "personne ne le conteste, en tout cas pas moi (...) ça me paraît une évidence", estime Manuel Bompard, en réaction aux propose du leader de LFI hier soir sur France 2. "Mais il dit qu'il faut prendre les choses étape par étape."

Le coordinateur de La France insoumise appelle à "ne pas aller trop vite en besogne" et met en avant le "programme" du "nouveau Front populaire". Il souligne qu'il est "normal que le groupe le plus nombreux de la coalition fasse une proposition aux autres" pour nommer un Premier ministre.

Manuel Bompard "condamne l'antisémitisme", après les accusations visant LFI

Le coordinateur de LFI a réagi aux accusations d'Emmanuel Macron, lors de sa conférence de presse hier, visant son parti. "Je condamne l'antisémitisme, comme je l'ai toujours fait", déclare Manuel Bompard, invité sur Europe 1 et CNews.

Eric Ciotti avait également porté de telles accusations: "Je ne crois pas que l'on peut donner des leçons d'antisémitisme, quand on vient de faire alliance avec le RN", répond Manuel Bompard.

Fabien Roussel, leader du PCF, a assuré que la désignation du Hamas palestinien comme organisation terroriste sera inscrite "noir sur blanc" dans un programme commun du "nouveau Front populaire". Mais Manuel Bompard ne le confirme pas. Il assure condamner "les massacres terroristes commis par le Hamas le 7 octobre" en Israël.

Gabriel Attal lance un appel aux "socio-démocrates de gauche" à "faire le bon choix"

Le Premier ministre lance un appel aux "socio-démocrates de gauche", tandis que les principaux partis de gauche se sont unis pour les législatives.

"J'ai milité au PS donc oui ça me rend triste de voir ce parti à nouveau se mettre derrière et avancer avec LFI, de faire alliance avec le NPA, de voir ceux qui ont inventé la laïcité se retrouver avec ceux qui carburent au communautarisme, ceux qui ont été les défenseurs de Dreyfus avec ceux qui sont poursuivis pour apologie du terrorisme", déclare Gabriel Attal sur France Inter.

"A tous ces électeurs socio-démocrates de gauche qui ne se retrouvent pas là-dedans, qui pensent qu'il y a un autre chemin qui est possible (...) Je fais confiance à ces Français pour faire le bon choix."

"Pas un référendum" contre le président, dit Gabriel Attal

"C'est moi qui mène cette campagne", assure le Premier ministre sur France Inter. "Ce n'est pas une élection présidentielle mais législative", poursuit Gabriel Attal.

"Les élections ne sont pas un référendum pour ou contre le président de la République, c'est le choix d'une majorité et d'un gouvernement."

"On a tous une part de responsabilité", pour Gabriel Attal

"Ça me rend triste de voir les socialistes se ranger derrière LFI", assure Gabriel Attal sur France Inter. "On a tous une part de responsabilité" dans la montée de l'extrémisme.

"On n'a pas réussi à régler tous les problèmes des Français" mais "je pense qu'on a fait avancer un certain nombre de choses".

"Je ne suis pas dans la sidération" de la dissolution, "je suis dans l'action", déclare le Premier ministre. "Les Français sont dans un choix de société", selon lui: l'"amateurisme sidérant" à l'extrême droite et "une forme de désordre" à gauche.

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Réforme de l'assurance chômage: Gabriel Attal annonce un décret "d'ici au 1er juillet"

Le Premier ministre Gabriel Attal a assuré ce jeudi sur France inter que le décret réformant à nouveau l'assurance chômage, très contesté à gauche, serait bien pris "d'ici au 1er juillet", en pleine campagne des législatives anticipées.

Un projet de décret du gouvernement est actuellement en cours d'examen par le Conseil d'État pour une réforme qui durcit l'accès à une indemnisation et la durée de celle-ci. La veille, Emmanuel Macron avait assuré être ouvert sur les "modalités".

Eric Dupond-Moretti attaque les oppositions

Le ministre de la Justice attaque les oppositions, de droite et de gauche.

"Honte à ceux qui se mareint avec ces gens du NPA" qui sont "anti-flics", déclare-t-il, rappelant que Philippe Poutou avait décrit "un joli feu d'artifices" lors "de tirs de mortiers sur la police à La Courneuve" durant les émeutes urbaines.

Olivier "Faure a vendu le Parti socialiste, qui était un grand parti de gouvernement, pour un plat de lentilles, pour quelques places", selon lui. "S'ils gagnaient, qui serait le Premier ministre ? Jean-Luc Mélenchon, Louis Boyard, Mathilde Panot? C'est ça qu'on veut pour la France ?"

"Il y a des gens qui ont voté pour (Eric) Zemmour" et se retrouvent trahis par Marion Maréchal, poursuit-il, évoquant une "escroquerie démocratique" et des électeurs "cocus".

"Comme les électeurs de (Raphaël) Glucksman sont aujourd'hui cocus", après l'union de la gauche, estime encore le ministre.

"Le président propose une clarification. Petit à petit, les masques vont tomber."

Union de la gauche: "Pas d'inquiétude" selon une négociatrice

Si Olivier Faure se montre prudent sur l'avancée de l'accord pour l'union de la gauche aux législatives, une négociatrice assure à RMC qu'il n'y a pas d'inquiétude pour autant. "Les discussions sur les répartitions fonctionnent par à-coup. Ça peut bloquer longtemps sur un point avant d'avancer assez vite sur d'autres", explique-t-elle.

(CP)

Le ministre de la Justice candidat aux législatives?

Eric Dupond-Moretti sera-t-il candidat? "Je serai là où le président de la République me demandera d'aller", répond-il dans Face à face sur RMC-BFMTV. "Quelle que soit ma place, je me battrai, je ne veux pas que le pays tombe dans les bras des extrêmes."

"Les textes sont prêts", assure le ministre de la Justice

Les modifications dont parle Eric Dupond-Moretti sur RMC-BFMTV ne se feront pas immédiatement: "Les textes sont prêts" mais "pour faire passer un texte, il faut une Assemblée, il faut un Sénat."

Or, la chambre basse a été dissous dimanche par le président de la République, et les sénateurs ne siègent traditionnellement pas dans chambre haute, en attendant les résultats des législatives avancées et les nouveaux députés.

Olivier Faure sur l’union de la gauche: "Pour l’instant, on n’a pas abouti"

Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, sur RMC:

"J’espère le plus tôt possible. Pour l’instant, on n’a pas abouti. Sur les sujets de fond, nous n’avons pas conclu. On n’a rien signé. On a signé le fait que nous avions l’intention, les uns et les autres. Cette intention, je la maintiens ce matin. Nous devons nous retrouver et empêcher ensemble la victoire de l’extrême droite et nous sommes les seuls à pouvoir le faire. Vous avez vu les sondages. Le camp présidentiel est dans les choux. Il faut maintenant que la gauche s’oppose à l’arrivée de l’extrême droite au pouvoir. Ce n’est pas conclu. Nous ne pouvons pas avoir, pour les circonscriptions, une répartition qui ne correspond pas aux meilleures façons de l’emporter. Ça ne peut pas être une répartition uniquement mathématique. C’est aussi la question de la qualité. Nous avons aussi besoin que les meilleurs candidats soient sur les circonscriptions face au RN pour que nous puissions l’emporter. Si nous choisissons de manière totalement mécanique, uniquement en fonction des couleurs politiques, le risque est d’avoir en réalité un RN plus puissant, plus fort, et qui pourra atteindre la majorité absolue."

Plus d'informations ici.

Le ministre de la Justice évoque la justice des mineurs après les promesses du président

"Il y a un certain nombre de mesures qui seront prises avec la pénitentiaire dès cet après-midi", annonce Eric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, dans le Face à Face sur RMC-BFMTV.

Une modification de la justice des mineurs? "Oui, on y travaille, et pas depuis l'annonce des législatives", répond-il.

Hier, Emmanuel Macron, lors de sa conférence de presse, a promis "une autorité républicaine à tous les étages" et "plus de fermeté".

"Un immense gâchis", déplore Marion Maréchal après son exclusion de Reconquête

Au lendemain de son exclusion du parti Reconquête, Marion Maréchal parle sur TF1 d'un "immense gâchis".

"Aujourd’hui, on a un camp national qui se constitue, qui peut apporter une partie des réponses, qui suis-je pour empêcher cela? Si ça doit conduire à des expulsions et insultes, je l’assume", assure-t-elle.

Marion Maréchal affirme n'avoir "en aucun cas rallié le RN", seulement "apporté son soutien à une coalition".

"Je n’ai pas négocié quoi que ce soit, je n’ai pas cherché une place pour moi-même, je ne serai pas candidate aux législatives, j’ai fait ça par cohérence."

Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, sur RMC: "On peut avoir un candidat du NPA"

Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, sur RMC:

"Pour l’instant, sur la discussion qui existe entre nous, je n’ai pas vu de circonscription attribuée au NPA. On peut avoir un candidat du NPA. (Communiqué du NPA sur l’attaque du 7 octobre, soutenant l’offensive du Hamas, NDLR) Je ne partage pas cette position. Et ce ne sera pas la position de la coalition. Nous discutons du projet. Ceux qui ne partagent pas le projet que nous allons porter ensemble ne seront pas candidats, c’est clair. Je ne suis pas mal à l’aise. Je dis simplement que nous ne transigerons pas sur des questions qui sont essentielles. Qu’il y ait des gens qui se battent avec nous contre l’extrême droite, ça me semble être un point important. On ne peut pas résumer la vie politique uniquement à la question israélo-palestinienne. Ça n’est pas le seul sujet."

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Pour Eric Ciotti, la commission d'investiture n'a pas non plus de valeur

"La commission d'investiture n'a aucune réalité non-plus", poursuit Eric Ciotti, après avoir contesté le bureau politique d'hier, s'accrochant à la présidence de LR.

Réunie dans la foulée du bureau politique qui a voté son exclusion, cette commission d'investiture a reconduit les députés sortants de LR qui se représentent (59). Mais pas Eric Ciotti ni une de ses proches, Christelle D'Intorni, elle aussi favorable à l'alliance avec le RN.

"Moi ce que je souhaite, c'est qu'il y ait cette alliance d'un bloc national entre Les Républicains, le Rassemblement national et tous ceux qui sont animés par la soif de mettre un terme à cette impuissance."
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Eric Ciotti menace les LR d'"actions judiciaires"

"S'il y a des obstacles à la présidence légitime dont je dispose, il y aura des actions judiciaires, y compris des actions pénales pour ceux qui utiliseraient des moyens qu'ils n'ont pas le droit d'utiliser", promet Eric Ciotti dans Télématin sur France 2 ce jeudi.

"Toutes les voies de droit seront ouvertes pour que j'exerce mes responsabilités, celles que je détiens des militants."

Eric Ciotti conteste son exclusion de LR

"Je serai dans mon bureau dans quelques instants", promet Eric Ciotti sur France 2 ce jeudi matin. Le député des Alpes-Maritimes s'accroche à la présidence du parti.

Il s'en prend aux élus Les Républicains poussant pour son départ. "Tout ça, ce sont des arguties, des petits combats de gens médiocres d'arrière-garde qui n'ont rien compris à ce qui se passait dans le pays", tacle-t-il.

Hier, un bureau politique a voté son exclusion du parti. Mais Eric Ciotti conteste sa "valeur juridique".

"Ce n'est pas un bureau politique. Le bureau politique est convoqué par le président."

"On a vu le retour de tous ceux qui ont fait perdre la droite depuis des décennies", a-t-il lancé pour tacler les cadres de LR, tous en faveur de son exclusion. Il a aussi appelé à "changer de cadre, de personnes", en faisant alliance avec l'extrême droite.

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Olivier Faure sur RMC: "Je ne disqualifie pas Jean-Luc Mélenchon, je dis simplement que ce sera un choix collectif"

Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, sur RMC:

"Je crois avoir été clair sur mon choix. Nous aurons une discussion lorsque ce groupe (Front populaire, NDLR) deviendra majoritaire. Et ce n’est pas le cas aujourd’hui. J’aimerais qu’on arrête de présidentialiser un scrutin qui ne l’est pas. Nous sommes sur un scrutin législatif. Pas de personnalisation outrancière dans cette élection législative. Il faut une équipe et des gens qui soient prêts à gouverner ensemble. Je comprends qu’il (Jean-Luc Mélenchon) fasse cette déclaration. Je n’ai pas de problème avec le fait qu’il considère qu’il est de ceux qui peuvent aspirer à cette fonction. Je ne le disqualifie pas, je dis simplement que ce sera un choix collectif."

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Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, répond sur RMC à l'hypothèse Mélenchon à Matignon

Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, sur RMC:

"(Jean-Luc Mélenchon, Premier ministre?) Ah bon? Je comprends qu’il soit prêt. Ça fait deux ans qu’il a été le candidat de la Nupes pour cette fonction. Et à l’époque, il avait une légitimité très forte, il était l’homme des 22%. Donc il pouvait légitimement y prétendre et nous avions à l’époque considéré que c’était le seul qui soit en mesure de se présenter à cette fonction. Aujourd’hui, c’est un peu différent. Je vois bien qu’on essaye de faire réapparaitre LFI comme le danger. Mais LFI, c’était 10% aux élections européennes. Et c’était 14% pour le PS. Nous sommes dans un pays très fracturé. Le chef de l’Etat y contribue avec toute la force nécessaire, y compris par la dissolution. On a un pays qui peut se briser, qui est menacé par nos divisions. Je crois que lorsque la nouvelle coalition sera majoritaire, elle devra se réunir et choisir en son sein celui ou celle qui est le plus en mesure de réparer les liens distendus, de faire en sorte d’apaiser et rassurer ce pays, et renouer les fils du dialogue avec les Français. Cela suppose qu’on ait un profil qui soit, non pas le plus clivant, mais qui permette au contraire de fédérer ce pays."

Chez LR, qui va suivre Eric Ciotti dans son alliance avec le RN?

Eric Ciotti, le désormais ex-président de LR, conteste cette décision, dénonce un "putsch" et affirme être toujours à la tête du parti. Mais qui le soutient encore chez LR? Du côté des députés sortants, c'est simple, une seule députée soutient Eric Ciotti: sa voisine de circonscription à Nice et très proche, Christelle d'Intorni.

L'autre soutien le plus identifié est Guilhem Carayon, le chef des Jeunes Républicains, qui devrait candidater dans le Tarn. Et puis quelques maires ont affirmé être prêts à une alliance avec le RN, à Montauban ou encore Cholet.

En dehors de ces personnalités, peu de monde se bouscule pour venir au soutien d'Eric Ciotti. Plusieurs cadres du parti racontent que le désormais ex-président des LR tente de piocher au sein des Jeunes Républicains, avec des profils souvent inexpérimentés. Tous ceux qui acceptent seront exclus du parti LR, prévient la nouvelle direction. Et aux législatives, ils auront un candidat estampillé LR face à eux, Eric Ciotti inclus.

(RC)

Le RN assure que les candidats LR soutenus seront connus rapidement

Sans rentrer dans les précisions, le porte-parole du RN Andréa Kotarac assure dans Charles Matin, sur RMC, que des députés issus de LR vont être soutenus par le RN. Et qu'ils seront dévoilés rapidement.

"Je vous confirme qu’il y a des accords entre les Républicains et le Rassemblement national. Je salue aussi le soutien de Marion Maréchal. Pour imprimer tous les bulletins de vote, il faut aller très vite. (Aujourd'hui?) Vous saurez qui est candidat", indique-t-il.

Olivier Faure invité d'"Apolline Matin" sur RMC

Olivier Faure, le Premier secrétaire du Parti socialiste, est l'invité d'Apolline Matin ce jeudi à 7h40.

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Eric Zemmour annonce exclure Marion Maréchal de Reconquête

Nouveau séisme à droite: Eric Zemmour a annoncé mercredi l'exclusion de Reconquête de sa tête de liste aux élections européennes, Marion Maréchal, dénonçant une "trahison" de l'eurodéputée qui venait d'appeler à voter pour les candidats soutenus par le Rassemblement national aux législatives anticipées.

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La gauche d'accord sur la répartition des circonscriptions, Jean-Luc Mélenchon ne dit pas non à Matignon

Alors que les partis de gauche continuaient mercredi de bâtir dans l'urgence le nouveau "Front populaire" via un accord pour se partager la quasi-totalité des 577 circonscriptions, Jean-Luc Mélenchon n'a pas fermé la porte à l'idée de prendre la tête de cette coalition à Matignon, en cas de victoire aux législatives anticipées.

"Je ne m'élimine pas mais je ne m'impose pas", a déclaré le fondateur de LFI sur France 2, précisant s'en sentir "capable".

Lire l'article ici.

Législatives: J-17 avant le premier tour

Bonjour à tous et bienvenue pour suivre en direct toutes les infos sur la campagne des législatives, à 17 jours du premier tour.

Les listes de candidats se finalisent dans les partis, autour d'une alliance à gauche (LFI-PS-Ecologistes-PCF) et d'une tentative explosive d'union à droite entre le RN et Eric Ciotti. Emmanuel Macron appelle lui au rassemblement contre la "fièvre extrémiste".

>> Toutes les infos des législatives du 12 juin

Laurent Picat, Maxime Ponsot