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Une campagne de recrutement de la Scientologie dans le viseur de la Miviludes

Une campagne de recrutement de la Scientologie dans le viseur de la Miviludes

Une campagne de recrutement sur les réseaux sociaux dans le viseur de la Miviludes. La Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires ... met en garde contre une campagne de communication très active en ce moment sur internet de l'Eglise de Scientologie considérée par certains comme une secte (plusieurs rapports parlementaires). La Miviludes met en garde le public car "l’adhésion à la scientologie peut notamment se faire à l’occasion de tests de personnalité gratuits, de conférences d’introduction gratuites, ou encore par des manifestations culturelles ou à visée humanitaire". Si ces contenus peuvent paraître inoffensifs les pratiques de la scientologie peuvent présenter des risques

Justice : 4.000 affaires "en attente d'être jugées par des juridictions criminelles"

Justice : 4.000 affaires "en attente d'être jugées par des juridictions criminelles"

La justice va-t-elle droit "dans le mur" dans le traitement des dossiers criminels ? C'est en tout cas le risque évoqué hier par Rémy Heitz, procureur général à la Cour de cassation. Selon le plus haut représentant du ministère public, 4.000 affaires sont "en attente d'être jugées par des juridictions criminelles". C'est deux fois plus qu'il y a 5 ans. La faute à un manque de moyens humain, matériel et financier qui inquiète les magistrats.

Le préfet du Bas-Rhin a envoyé un courrier aux parents des jeunes délinquants, interpellés la nuit de la Saint-Sylvestre.

"Ça peut faire arrêter les bêtises": les menaces sur les parents de mineurs délinquants efficaces?

Le ministère de l'Intérieur encourage les préfets à réexaminer les titres de séjour de parents de jeunes délinquants étrangers. Une quarantaine de préfets comptent écrire aux familles concernées dans leurs départements en s'inspirant en fait de l'initiative du préfet du Bas-Rhin qui a écrit cette semaine aux parents des jeunes délinquants qui avaient été interpellés la nuit de la Saint-Sylvestre.

Expulsion des parents de mineurs délinquants: "Il faut ramener l'autorité de l'État dans nos quartiers, mais pas sous cette forme-là", indique Mokrane Kessi, président de l'association "France des banlieues"

Expulsion des parents de mineurs délinquants: "Il faut ramener l'autorité de l'État dans nos quartiers, mais pas sous cette forme-là", indique Mokrane Kessi, président de l'association "France des banlieues"

Mokhran Kessy, président de l'association "France des banlieues" dénonce la proposition du préfet du Bas-Rhin d'expulser les parents non-français d'enfants délinquants, qualifiant cela de "double peine". Il appelle à une réflexion sur les causes des violences et souligne l'importance de la responsabilité parentale.