Le gouvernement va-t-il échapper ou pas à la motion de censure que compte déposer la gauche? Le Nouveau Front populaire semble pour l'instant bien le seul à vouloir cette censure.
Après les tirs de missiles iraniens vers Israël, Jean-Luc Mélenchon a estimé que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu était en guerre avec l'Iran conformément à "son plan". Pour l'ancien président de la République François Hollande, le leader de La France insoumise tient des "propos anti-israéliens" pour mobiliser les "quartiers populaires" et par "calcul électoral".
Après le discours de politique générale de Michel Barnier ce mardi à l'Assemblée nationale, la gauche n'entend pas laisser tranquille l'exécutif. Une motion de censure sera déposée en fin de semaine par les quatre groupes du Nouveau Front populaire. Mais sans soutien des plus de 140 députés RN et ciottistes, la procédure n'a aucune chance.
François Hollande pourrait être candidat à la prochaine présidentielle, du moins, c'est une potentialité que l'ancien chef de l'État laisse planer. Une idée qu'il avait déjà en 2022. Pour l'heure, François Hollande, désormais député, cherche des relais chez ses nouveaux collègues socialistes.
Lors de son discours de politique générale, Michel Barnier a assuré que les grandes entreprises et les ménages les plus aisés seraient soumis à un effort de redressement. Une "stratégie inefficace" selon Nicolas Bouzou, le président du cabinet Asterès.
Lors de son discours de politique générale, Michel Barnier a assuré que les grandes entreprises et les ménages plus aisés seraient soumis à un effort de redressement. Une "stratégie inefficace" selon Nicolas Bouzou, le président du cabinet Asterès.
Lors de son discours de politique générale, Michel Barnier a donné plusieurs pistes pour réduire le déficit public. Un effort de redressement passant par une réduction des dépenses publiques et une hausse inévitable des impôts est demandé. Si le Premier ministre n'a pas précisé quels seraient les contours d'une surtaxe pour les grandes entreprises, il s'est un peu plus avancé sur le sort réservé aux grandes fortunes. Le successeur de Gabriel Attal veut lutter contre l'optimisation fiscale.
Dans son discours de politique générale, Michel Barnier a indiqué vouloir solliciter les retraités pour pallier au manque de professionnels. Sophie, 70 ans, professeure d'anglais à la retraite, estime ne plus être capable de venir travailler. Même chose pour Elisabeth, "je suis trop vieille" affirme-t-elle.
Lors de son discours de politique générale, et pour pallier à l'absence de professionnels en France, Michel Barnier a proposé de faire appel aux retraités volontaires. Une idée qui n'a pas manqué de faire réagir à l'Assemblée mais également sur les réseaux sociaux. "Faire appel aux profs retraités ? Mais ce n'est pas le concours Lépine pour le grand prix BricoEduc" a réagi la secrétaire générale du SNES-FSU sur X.
Durant son discours de politique générale, Michel Barnier a abordé longuement le thème de l'immigration. Le Premier ministre veut s'attaquer aux accords bilatéraux... notamment celui avec l'Algérie qui fait figure d'exception.
C'était l'épreuve du feu pour Michel Barnier ce mardi, avec son discours de politique générale. Le Premier ministre devait rassurer le bloc central pour s'assurer une majorité à l'Assemblée, mais ça a quelque peu dérapé en fin de journée.
Parmi les annonces de Michel Barnier, lors de son discours de politique générale, il y a celle de l'augmentation du Smic. Il sera revalorisé de 2% dès le 1er novembre et passera de 1398,70 euros à 1426 euros, en anticipation du 1er janvier. Au 1er janvier 2023, 17,3% des salariés étaient payés au Smic.
De retour à l’Assemblée nationale, en tant que député de Corrèze, l’ancien président François Hollande veut se refaire une place à gauche, notamment en vue de 2027.
Sanctions rapides, sursis limités,... La case prison est au cœur de la réponse pénale voulue par Michel Barnier. Mardi, lors de son discours de politique générale, le Premier ministre a évoqué sa volonté de lutter contre la perte de crédibilité de la réponse pénale". Pour ce faire, il a annoncé plusieurs mesures telles que la révision des aménagements de peine ou la limitation des sursis. Le successeur de Gabriel Attal veut rendre les peines de prison ferme plus "courtes" mais "immédiates".
C'était une prise de parole très attendue. Mardi, Michel Barnier a prononcé son discours de politique générale. Menacé par la censure, le Premier ministre a dû rester très prudent. Il a conclu son grand oral par des mots d'apaisement: "Prenons soin de la République, elle est fragile", en demandant aux différents partis de dépasser leurs divisons et leurs querelles pour agir dans l'intérêt du pays. Un parti pris qui n'a pas fait l'unanimité chez les macronistes, par exemple, qui confient "rester vigilants".
Le chahut de l'Assemblée nationale n'a pas empêché le Premier ministre, Michel Barnier, d'égrainer son discours de politique générale. Le Premier ministre a notamment fait des annonces sur le logement, le premier poste de dépense des Français. Un secteur en crise que le chef du gouvernement veut revitaliser.
Dans son discours de politique générale, Michel Barnier a assuré que les grandes entreprises et les ménages les plus aisés seraient mis en contribution pour redresser les comptes public.
Michel Barnier a donc prononcé son discours de politique générale mardi. Pendant 90 minutes, le Premier ministre a déroulé sa feuille de route devant l'Assemblée. Une prise de parole jugée évasive par le bloc centrale.
C'est aujourd'hui le premier poste de dépense des Français : le logement. Parmi ses annonces, lors de la prononciation de son discours de politique générale, Michel Barnier a annoncé vouloir "revitaliser la construction du logement".
Michel Barnier a prononcé son discours de politique générale ce mardi 1ᵉʳ octobre. Alors que le RN exige que le gouvernement présente une nouvelle loi immigration, LFI assure que son groupe aurait "trois priorités" face au "chaos" laissé par Emmanuel Macron: "censurer (le) gouvernement", "destituer" le chef de l'État et le "remplacer". Voici les principales réactions politiques aux annonces du Premier ministre.
Le Premier ministre a évoqué un point très controversé durant son discours de politique générale : l'immigration, dont il juge la maîtrise "non satisfaisante".
Michel Barnier s'est pour la première fois exprimé ce mardi 1er octobre devant l'Assemblée nationale, en prononçant une déclaration de politique générale largement tournée vers le redressement des finances publiques, l’écologie, le pouvoir d’achat et la sécurité.
Dans son discours de politique générale, le Premier ministre Michel Barnier a confirmé qu'il y aurait, comme il le laissait entendre, une "contribution exceptionnelle" pour "les grandes et très grandes entreprises qui réalisent des profits importants", et les "Français les plus fortunés".
Dans ses mémoires, Boris Johnson critique certains de ses interlocuteurs internationaux, en particulier Emmanuel Macron.
Nicolas Sarkozy a affiché son soutien ce lundi au nouveau ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau. Toutefois, il critique les déclarations de Michel Barnier sur la gestion des flux migratoires, qui prônait "fermeté et humanité": "Il faudra choisir. Une politique de fermeté aura des conséquences sur l’humanité, c’est évident". "Nicolas Sarkozy nous explique qu'il faut créer de la tension entre un ministère et un autre. Faut arrêter les conneries", estime l'économiste Fréderic Farah dans "Les Grandes Gueules".
Le Premier ministre avait annoncé dès sa première interview télévisée vouloir faire de la santé mentale une "grande cause nationale" pour 2025. Une annonce qui a positivement surpris le secteur, qui reste prudent vu que rien n'a bougé depuis.
Le nouveau Premier ministre Michel Barnier devrait annoncer de nouvelles hausses d'impôts à destination des plus riches, mais qui pourraient également concerner les artisans, les petits patrons et les petits propriétaires immobiliers.
À l'ouverture de son procès hier, Marine Le Pen a déclaré "Je répondrai à l'intégralité des questions que le tribunal voudra bien me poser" et "Nous n'avons violé aucune règle", a-t-elle lancé., assure celle qui ne peut s'empêcher de se raidir à la lecture des infractions qui lui sont reprochées. Comme l'ex-numéro 2 du parti Bruno Gollnisch, qui rappelle qu'il reçoit "toujours des menaces", elle demande à pouvoir ne pas donner son adresse personnelle à la barre."Le seul souverain, c'est le peuple. C'est pour ça que ce n'est pas à des juges non élus de choisir si Marine Le Pen peut se présenter." Jean-Loup Bonnamy.
Pour la députée du Rassemblement national Laure Lavalette, invitée de RMC-BFMTV ce mardi, le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau donne l'impression d'être un "porte-parole du RN" après ses dernières prises de position.
Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau clarifie ses propos sur l'Etat de droit ce mardi, via un communiqué de presse, après avoir fait polémique en l'estimant ni "intangible", ni "sacré".
La déclaration de politique générale de Michel Barnier est très attendue des professionnels de santé. Lors de sa première interview, le Premier ministre a annoncé faire de la santé mentale la grande cause de 2025.
Face à l’ampleur du déficit public, qui pourrait dépasser les 6% du PIB en 2024, Valérie Pécresse (LR) appelle sur RMC à réduire drastiquement les dépenses de l’Etat.
Michel Barnier, et son discours de politique générale, sont très attendus. L'objectif pour le Premier ministre est de "calmer les inquiétudes" au sein du gouvernement et éviter la censure.
Michel Barnier prépare un "choc fiscal" de 15 à 18 milliards d'euros. Mais alors, quelles sont les pistes étudiées par le Premier ministre pour économiser une telle somme ?
Alors que Michel Barnier prononce, aujourd'hui, son discours de politique générale, Valérie Pécresse cible les mesures économiques à prendre pour remettre en ordre le budget de l'État. Il y a du gaspillage partout", pointe-t-elle du doigt. Avant de cibler notamment "la bureaucratie qui nous ligote" et "ces agences qui démembrent l'État".
À 15 heures, Michel Barnier prononcera son discours de politique générale. Une prise de parole très attendues des Français. L'objectif pour le gouvernement: fixer un cap.
"Mais pour ça, il faudrait une collectivité bien gérée qui ait les moyens de mettre des enrobés qui absorberaient le bruit", ajoute-t-elle, en pointant du doigt la santé budgétaire de la ville de Paris. Valérie Pécresse estime que ce système d'enrobés serait une amélioration significative sur la pollution sonore. Bien plus que l'instauration des 50 km/h.
Valérie Pécresse avoue qu'il n'y aura pas "de recours en justice" contre l'instauration, par la mairie de Paris, des 50 km/h sur le périphérique parisien. "Il s'agit de la compétence de la mairie de Paris", se désole cette dernière qui promet de "[s]e battre contre cette mesure socialement injuste et écologiquement inefficace".
Michel Barnier doit prononcer son discours de politique générale à 15 heures ce mardi. Mais sans majorité absolue, le Premier ministre doit convaincre son auditoire pour éviter la censure, notamment promise par les élus de gauche.
C'est sous la pression d'une Assemblée nationale remontée à bloc que Michel Barnier va présenter son discours de politique générale ce mardi, à 15h. Faute de majorité claire dans l'hémicycle, il n'y aura pas de vote de confiance à l'issue du discours. Celui-ci est annoncé plus court qu'à l'accoutumée, pas plus d'une heure. Et ce sera un exercice d'équilibriste pour le Premier ministre.
Michel Barnier, le Premier ministre, prononce son discours de politique générale ce mardi à l'Assemblée nationale. Il annonce demander des efforts fiscaux aux grandes entreprises et aux Français "les plus fortunés", ainsi qu'une réflexion sur le scrutin à la proportionnelle et des modifications à apporter à la dernière réforme des retraites. Le Smic sera revalorisé de 2% dès le 1er novembre.
Ce mardi, Michel Barnier prononcera son discours de politique générale à l'Assemblée nationale. Mais qu'attendent les Français de cette prise de parole?
Ce dernier publie un rapport de 42 propositions pour faciliter la vie des familles monoparentales. Le sénateur propose l'idée d'une carte qui serait "le même principe que la carte famille nombreuse" et qui permettrait à ces familles d'avoir "accès à un certain nombre de prestations" que mettraient en place certains organismes.
À 15h, tous les regards seront tournés vers l’Assemblée Nationale. Michel Barnier doit y prononcer son discours de politique générale. Fiscalité, immigration, réforme des retraites,... de nombreux sujets seront abordés.
