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Les pistes de Michel Barnier pour réduire le déficit

Les pistes de Michel Barnier pour réduire le déficit

Lors de son discours de politique générale, Michel Barnier a donné plusieurs pistes pour réduire le déficit public. Un effort de redressement passant par une réduction des dépenses publiques et une hausse inévitable des impôts est demandé. Si le Premier ministre n'a pas précisé quels seraient les contours d'une surtaxe pour les grandes entreprises, il s'est un peu plus avancé sur le sort réservé aux grandes fortunes. Le successeur de Gabriel Attal veut lutter contre l'optimisation fiscale. 

Michel Barnier souhaite faire appel aux retraités pour pallier au manque de professionnels

Michel Barnier souhaite faire appel aux retraités pour pallier au manque de professionnels

Lors de son discours de politique générale, et pour pallier à l'absence de professionnels en France, Michel Barnier a proposé de faire appel aux retraités volontaires. Une idée qui n'a pas manqué de faire réagir à l'Assemblée mais également sur les réseaux sociaux. "Faire appel aux profs retraités ? Mais ce n'est pas le concours Lépine pour le grand prix BricoEduc" a réagi la secrétaire générale du SNES-FSU sur X.   

Michel Barnier veut "limiter" les aménagements de peine

Michel Barnier veut "limiter" les aménagements de peine

Sanctions rapides, sursis limités,... La case prison est au cœur de la réponse pénale voulue par Michel Barnier. Mardi, lors de son discours de politique générale, le Premier ministre a évoqué sa volonté de lutter contre la perte de crédibilité de la réponse pénale". Pour ce faire, il a annoncé plusieurs mesures telles que la révision des aménagements de peine ou la limitation des sursis. Le successeur de Gabriel Attal veut rendre les peines de prison ferme plus "courtes" mais "immédiates". 

Michel Barnier éloigne la censure en jouant la prudence

Michel Barnier éloigne la censure en jouant la prudence

C'était une prise de parole très attendue. Mardi, Michel Barnier a prononcé son discours de politique générale. Menacé par la censure, le Premier ministre a dû rester très prudent. Il a conclu son grand oral par des mots d'apaisement: "Prenons soin de la République, elle est fragile", en demandant aux différents partis de dépasser leurs divisons et leurs querelles pour agir dans l'intérêt du pays. Un parti pris qui n'a pas fait l'unanimité chez les macronistes, par exemple, qui confient "rester vigilants".