DIRECT. Législatives: Eric Ciotti retire son investiture à un candidat pour "propos antisémites" en Meurthe-et-Moselle

- Le chef de file du RN Jordan Bardella a redit mardi qu'il "refuserait d'être nommé" à Matignon sans majorité absolue à l'issue des législatives.
- Emmanuel Macron, lui, a assumé sa décision de dissoudre l'Assemblée nationale, "la solution la plus responsable" à ses yeux.
- Le président de la République a également fustigé le programme de la gauche qu’il juge "ubuesque" et "totalement immigrationniste".
- Déjà plus de 550.000 procurations ont été enregistrées en vue des législatives, selon le ministre de l'Intérieur.
La suite de la campagne des législatives
Merci à tous d'avoir ce live. La campagne des législatives continue dans un nouveau live, ce jeudi.
Gabriel Attal en conférence de presse demain
Le Premier ministre tiendra une conférence de presse jeudi à 9 h pour détailler le programme du parti présidentiel.
Gabriel Attal sur TF1: “Le programme de Jordan Bardella, c’est un oignon”
Invité sur le plateau du 20h de TF1, le Premier ministre a dénoncé, une fois de plus, le programme du Rassemblement national.
“Le programme de Jordan Bardella, c'est un oignon, qui se pèle, et à la fin, il ne reste que les yeux pour pleurer”.
Le Premier ministre appelle "l'ensemble des responsables politiques à mettre des digues sur la question de l'antisémitisme"
Interrogé sur le viol d’une enfant à Courbevoie, Gabriel Attal a appelé "l'ensemble des responsables politiques à mettre des digues sur la question de l'antisémitisme" sur le plateau de TF1 ce mercredi soir.
90 médias appellent à faire "front commun" contre l'extrême droite
En amont des élections législatives, 90 médias, dont certains classés à gauche comme l'Humanité, ont publié mercredi une tribune appelant à faire "front commun" contre l'extrême droite qui menace, selon eux, "la liberté de la presse".
"Le combat contre l'extrême droite et son projet est au coeur de nos engagements éditoriaux", peut-on lire dans ce document signé entre autres par Alternatives Economiques, Arrêt sur images, Les Jours, Mediapart, Politis, la société des journalistes (SDJ) de la rédaction nationale de France 3 ou celle du média en ligne Konbini.
Pour ces médias, "la liberté de la presse est dans (la) ligne de mire" du Rassemblement national (RN).
Débat entre Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard le 25 juin sur TF1
Un débat opposera Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard le 25 juin en soirée sur TF1, à cinq jours du premier tour des élections législatives, a annoncé mercredi la première chaîne française, confirmant une information du Figaro.
Ce débat entre le Premier ministre issu de Renaissance, le président du Rassemblement national et l'ancien député de La France insoumise sera animé par Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray, selon le journal.
Eric Ciotti dénonce une "alliance cachée" entre la macronie et LR
Eric Ciotti, à l'origine d'une "coalition" entre la droite et le RN aux législatives, dénonce une "alliance secrète" entre les LR qui s'efforcent de l'exclure de leur présidence et la macronie, dans un entretien mis en ligne mercredi sur le site du Figaro.
"Je dénonce publiquement la grande dissolution de la droite dans le macronisme à l'oeuvre", affirme le député des Alpes-Maritimes qui présente une soixantaine de candidats aux législatives sous l'étiquette "Les Républicains à droite" et dont le rapprochement avec le RN a été contesté par la direction de LR.
Pour Raphaël Glucksmann "au 1er tour on vote, au 2e on ne tergiverse pas"
Raphaël Glucksmann, qui a obtenu 13,8% aux élections européennes pour le Parti socialiste et Place publique, a lancé mercredi à Marseille:
"Au premier tour, on vote, au deuxième tour, on ne tergiverse pas", appelant à choisir pour le "candidat démocrate, républicain, quel qu'il soit".
"On vote pour le candidat démocrate, républicain, quel qu'il soit, qui est susceptible d'empêcher l'élection d'un député Rassemblement national", a-t-il déclaré, lors d'un déplacement pour soutenir Pascaline Lécorché, candidate Place publique dans la première circonscription des Bouches-du-Rhône, à Marseille.
Eric Ciotti retire son investiture à un candidat pour "propos antisémites" en Meurthe-et-Moselle
Eric Ciotti, à l'origine d'un alliance entre la droite et le RN aux législatives, a retiré mercredi son investiture à Louis-Joseph Pecher, qui se présentait sous ses couleurs en Meurthe-et-Moselle pour des "propos antisémites, homophobes et orduriers" sur les réseaux, a-t-il indiqué dans un communiqué.
"L'union des droites que nous appelons de nos voeux doit précisément faire barrage aux torrents de haine, d'antisémitisme et de violence portées par l'extrême gauche", a affirmé le président des "Républicains à droite".
Virgile Vanier, investi par LR contre Ciotti: "Ils m'ont dit 'bon courage'"
Virgile Vanier, candidat LR dans la circonscription d'Eric Ciotti à Nice, a raconté mercredi comment sa colère contre l'annonce d'une alliance avec le Rassemblement national avait débouché sur une investiture inattendue, à défaut d'un soutien appuyé de son parti.
"Ciotti a cru bon de prendre en otage son parti, ses militants, ses sympathisants et ses électeurs", a dénoncé ce quadragénaire, directeur commercial d'une société de logistique, lors d'une conférence de presse sur le port de Nice, tout près de la permanence d'Eric Ciotti.
"C'est juste indigne d'un homme politique".
Lorsqu'il a entendu le patron des LR parler d'une alliance avec le RN, il a envoyé un courriel furieux à une adresse trouvée sur le site internet du parti, qui s'est transformé en candidature spontanée. "Ils m'ont répondu, ils m'ont posé quelques questions et j'ai reçu un accord, au vu de mon parcours de sympathisant. Ils m'ont dit 'bon ben, bon courage, allez-y'".
"Ces propos sont très choquants": les associations LGBT+ "atterrées" par la déclaration d'Emmanuel Macron
Des associations de défense de la communauté LGBT+ se sont dites mercredi "choquées" et "atterrées" par les propos tenus par Emmanuel Macron, qui a tancé la volonté "ubuesque" du Nouveau Front populaire de permettre de "changer de sexe en mairie".
Lire l'article ici.
Les propositions du RN et du Nouveau Front populaire sont "dangereuses" pour l'économie, selon le Medef
Le Medef, première organisation patronale française, a jugé "inappropriées" et "dangereuses" pour l'économie française des mesures proposées par le Rassemblement national et le Nouveau Front populaire en vue des législatives des 30 juin et 7 juillet.
"Si ces programmes se concrétisaient en 2024 ou après", ils provoqueraient "des hausses d'impôts, (...) le départ des investisseurs étrangers et des faillites massives d'entreprises, donc des destructions d'emplois", a-t-il estimé.
Il a cité pêle-mêle la volonté d'abroger la réforme des retraites, l'indexation automatique des salaires sur l'inflation, le SMIC à 1.600 euros net mensuels, le blocage des prix ou encore la baisse de la TVA sur les produits énergétiques.
Les propositions du RN et du Nouveau Front populaire sont "dangereuses" pour l'économie, selon le Medef
Le Medef, première organisation patronale française, a jugé mercredi "inappropriées" et "dangereuses" pour l'économie française les mesures proposées par le Rassemblement national et le Nouveau Front populaire en vue des législatives des 30 juin et 7 juillet.
Le Medef a estimé que "si ces programmes se concrétisaient en 2024 ou après", ils provoqueraient "des hausses d'impôts, (...) le départ des investisseurs étrangers et des faillites massives d'entreprises", dans un document détaillant les "dix conditions" de l'organisation "pour la réussite économique de la France", dont des réformes économiques.
Viol à Courbevoie: "Un acte monstrueux et abject", s'émeut Gabriel Attal
Le Premier ministre vient lui aussi de réagir au viol d'une enfant de 12 ans, qui secoue l'entièreté de la classe politique française. "Les mots ont des effets, les idées ont des conséquences. Le combat contre l’antisémitisme doit être celui de tous les républicains", écrit le Premier ministre, dans une réference qui se veut être celle de l'échéance électorale des 30 juin et 7 juillet prochains.
Le RN retire son soutien à l'un de ses candidats après un tweet antisémite
Le Rassemblement national a indiqué mercredi qu'il n'accordait plus son soutien à l'un de ses candidats dans le Morbihan, Joseph Martin, un cadre du parti à la flamme qui avait publié un message antisémite sur les réseaux sociaux en 2018.
"Il n'a plus le soutien du Rassemblement National, il est suspendu et sera convoqué en vue de son exclusion", a indiqué le RN, en rappelant qu'il n'était pas possible de retirer sa candidature.
Dans un message repéré par Libération, le candidat de la première circonscription du Morbihan avait écrit en octobre 2018 que "le gaz (avait) rendu justice aux victimes de la Shoah". La publication a été effacée mercredi à la mi-journée.
La Poste dans les starting-blocks pour distribuer les 47 millions de plis électoraux
La Poste se tient prête à distribuer 47 millions de plis électoraux pour chaque tour de scrutin des législatives anticipées via la tournée des facteurs et a annoncé mercredi à l'AFP prévoir le renfort de 1.200 à 1.300 contrats saisonniers pour ce faire.
La Poste commencera la distribution des plis électoraux "de manière échelonnée sur la semaine précédant le jour de vote", dès que ceux-ci seront mis à disposition par les préfectures, a-t-elle indiqué.
Viol à Courbevoie: Sandrine Rousseau dénonce "l'antisémitisme qui tue, viole et agresse"
"Soutien, évidemment, plein et entier à cette enfant, 12 ans. Le viol est un instrument patriarcal d’avilissement, de soumission et d’humiliation", écrit sur X Sandrine Rousseau, en réaction au viol d'une enfant de 12 ans à Courbevoie.
La CGT sort-elle de son rôle en appelant à voter pour le Nouveau Front populaire?
Pour les législatives, la CGT a classiquement décidé d'appeler à voter contre le RN, mais surtout, chose plus rare, à soutenir le Nouveau Front populaire. Pour certains, le syndicat sort de son rôle. Sa dirigeant, Sophie Binet, s'en défend.
Plus de détails dans notre article.
Les partis du Nouveau Front populaire se disputent sur la façon de choisir un Premier ministre
Qui dans l'alliance de gauche sera proposé comme Premier ministre en cas de victoire aux législatives? Le PS plaide pour un vote, mais les insoumis rejettent l'idée et souhaitent laisser le choix au parti majoritaire à la fin des élections.
Plus de détails dans notre article.
Jordan Bardella ne veut qu'une majorité absolue, un "refus d'obstacle" selon Gabriel Attal
Jordan Bardella a annoncé vouloir obtenir une majorité absolue à l'Assemblée Nationale pour prendre le poste de Premier ministre après les élections législatives. Une prise de position critiquée par la majorité sortante.
Plus de détails dans notre article.
Pourquoi une cohabitation avec le RN ou le NFP serait très tendue sur l’international
Si le Rassemblement national ou le Nouveau Front populaire une cohabitation, les questions de politique internationale et de défense risquent d’être très tendues avec Emmanuel Macron.
Que prévoit la Constitution en cas de cohabitation? Elle est très ambiguë sur le partage des pouvoirs entre le président de la République et le Premier ministre, notamment sur les questions de politique internationale et de défense. Un seul exemple: l’article 15 affirme que le président est le chef des armées. Mais l’article 20 prévoit que le gouvernement dispose de la force armée.
Faute de texte clair et précis, c’est la pratique qui fait loi. Le général de Gaulle a théorisé la notion de domaine réservé. La politique étrangère et la défense, c'était lui. Et c’est comme cela depuis 65 ans, sauf en période de cohabitation…
Plus de détails dans notre article.
Deux frères jumeaux candidats pour deux partis
Deux frères jumeaux seront candidats aux législatives dans le même département de Loire-Atlantique, rapporte Ouest-France. En effet, Alain Hunault est candidat divers droite dans la 6e circonscription, et Michel Hunault est soutenu par Éric Ciotti et le RN dans la 7e circonscription.
Un candidat RN soupçonné d'antisémitisme
"Le Rassemblement national peut bien changer d'apparence... la haine de l'autre reste ancrée dans son ADN et l'antisémitisme s'y cache toujours", a écrit Boris Vallaud, député PS des Landes, en relayant lui aussi ce tweet de 2018 de Joseph Martin, désormais ex-candidat RN aux législatives dans le Morbihan.
"La matrice du RN est le racisme et l’antisémitisme", tacle Olivier Faure
"La matrice du RN est le racisme et l’antisémitisme" et "son soutien au gouvernement de (Benyamin) Netanyahou n’est qu’une façon de se 'blanchir' et de trouver un nouvel argument dans la guerre des civilisations qu’il entend mener contre les Français musulmans", écrit le premier secrétaire du PS Olivier Faure, en réaction au tweet polémique, en 2018, d'un candidat RN aux législatives. Le RN a annoncé tout à l'heure retirer son investiture à Joseph Martin.
La Cour de cassation valide la condamnation du RN dans l'affaire des kits de campagne
La Cour de cassation a rejeté ce mercredi les pourvois du Rassemblement national et de proches de Marine Le Pen dans l'affaire des kits de campagne, le matériel électoral clé en main utilisé par les candidats du FN (devenu RN) lors des législatives de 2012. Jugé en appel pour recel d'abus de biens sociaux en mars 2023, le RN avait été condamné à une amende de 250.000 euros. Cette condamnation est désormais définitive. La haute juridiction a pris acte du désistement de trois des mis en cause et rejeté les pourvois des trois autres personnes physiques ainsi que du RN et du micro-parti Jeanne.
Au coeur du dossier, les kits de campagne étaient composés de tracts, d'affiches "personnalisées", d'un site internet et même de prestations pour présenter des comptes en règle à l'institution chargée de vérifier le financement des partis politiques (CNCCFP). Ces kits étaient vendus 16.650 euros aux candidats du FN (depuis rebaptisé RN) par l'association Jeanne, le micro-parti de Marine Le Pen, et fournis par la société de communication Riwal, dirigée par Frédéric Chatillon, un ancien président du GUD (Groupe union défense, organisation étudiante d'extrême droite).
Pour l'accusation, ce système cachait des prestations surévaluées, destinées à tromper l'Etat, qui rembourse les dépenses des candidats dépassant 5% des voix. Ce système "a porté atteinte aux règles de la démocratie", avait jugé la cour d'appel en annonçant la décision. Lors du procès, le parquet général avait requis une amende de 500.000 euros à l'encontre du RN. Estimant avoir été victime d'escroquerie, l'Etat réclamait 11,6 millions d'euros de dommages et intérêts au parti et aux prévenus. Au total, trois personnes morales (le RN, le micro-parti Jeanne et la société de communication Riwal) et sept proches de Marine Le Pen étaient jugés en appel pour escroquerie aux dépens de l'Etat, abus de biens sociaux, abus de confiance, recel et blanchiment.
Éric Ciotti dit avoir reçu une lettre de menaces
Sur X, Éric Ciotti dit avoir reçu une lettre de menaces, joignant une photo. On peut lire: "Pas de RN… t'as bien compris !" avec une arme et une cible sur laquelle est écrit "Ciotti".
"Rien ne me fera reculer, ni la haine, ni les menaces, ni la violence. Ce rassemblement des droites est nécessaire pour la France !" écrit Éric Ciotti, en référence à l'accord qu'il a passé en tant que président de LR avec le RN.
Le Nouveau Front populaire nomme des représentants de futurs débats télévisés
Dans un communiqué de presse, le Nouveau Front populaire (NFP) a décidé des représentants suivants pour participer à de futurs débats télévisés: Manuel Bompard (LFI) sur TF1, Ian Brossat (PCF) sur CNews, Olivier Faure (PS) sur France 2 et Marine Tondelier (EELV) sur BFMTV. L'alliance de gauche indique avoir été sollicitée par des chaînes de télévision.
Gabriel Attal au JT de ce soir
Le Premier ministre sera l'invité du journal télévisé de 20 h sur TF1 ce soir.
Gabriel Attal va aussi organiser une conférence de presse demain à 9h.
Viol de Courbevoie: Emmanuel Macron demande un "temps d'échanges" dans les écoles
Emmanuel Macron a demandé, au cours du Conseil des ministres, qu'"un temps d'échanges" soit organisé dans les prochains jours dans les écoles sur le racisme et l'antisémitisme, à la suite du viol à Courbevoie (Hauts-de-Seine) d'une jeune fille juive.
Le chef de l'Etat a eu des "paroles solennelles et graves sur le fléau de l'antisémitisme" au cours du Conseil des ministres, a indiqué son entourage à l'AFP. En souhaitant ces discussions, il veut faire en sorte que "les discours de haine porteurs de lourdes conséquences" ne s'"infiltrent pas" dans les établissements scolaires, d'après la même source.
Le RN lisse son programme
A 11 jours des législatives, le président du RN Jordan Bardella veut rassurer sur sa politique étrangère, en affirmant ne pas vouloir "remettre en cause les engagements" de la France à l'international en matière de défense. Le favori joue la sécurité. "Je n'entends pas remettre en cause les engagements pris par la France sur la scène internationale", a déclaré Jordan Bardella, en visite au salon de défense Eurosatory près de Paris. "Il y a un enjeu de crédibilité à l'égard de nos partenaires européens et de nos alliés de l'Otan", a ajouté le chef de file du RN, crédité de 33% dans le dernier sondage Ifop de lundi.
Plus question donc de "quitter le commandement intégré" de l'Alliance atlantique, comme le proposait Marine Le Pen il y a deux ans. En tout cas pas tant que la guerre en Ukraine "est toujours en cours", comme Jordan Bardella l'avait déjà expliqué pour tenter de gommer l'image pro-Kremlin que son parti traîne comme un boulet. Le jeune président du RN a d'ailleurs confirmé son intention de maintenir le soutien militaire à Kiev, avec toutefois une "ligne rouge" sur les "missiles longue portée" et autres armes qui permettraient de "frapper le territoire russe", pour "éviter tout risque d'escalade".
Promis à Matignon à seulement 28 ans en cas de victoire, Jordan Bardella s'emploie depuis plusieurs jours à dissiper les doutes sur son programme. En particulier sur la réforme des retraites portant l'âge légal à 64 ans, qu'il s'est engagé à abroger "à partir de l'automne" en favorisant les carrières longues. Ou encore sur son programme économique, promettant une baisse de la TVA sur l'énergie et les carburants dès cet été, mais seulement dans "un second temps" sur les "produits de première nécessité".
De la même manière, il s'est engagé à dissoudre "toutes les organisations d'ultragauche et d'ultradroite", y compris le syndicat étudiant GUD dont d'anciens membres gravitent autour du RN. "Nous n'avons jamais eu de mansuétude à l'égard de milices (...) qui cassent et menacent la paix civile dans notre société", a-t-il affirmé. Une façon de désamorcer les critiques pour celui qui "refusera d'être nommé" à la tête d'un gouvernement s'il n'obtient pas de majorité absolue à l'Assemblée.
Le RN retire son soutien à l'un de ses candidats après un tweet antisémite
Le Rassemblement national n'accorde plus son soutien à l'un de ses candidats dans le Morbihan, Joseph Martin, un cadre du parti, qui avait publié un message antisémite sur les réseaux sociaux en 2018, jamais effacé ni renié. "Il n'a plus le soutien du Rassemblement National, il est suspendu et sera convoqué en vue de son exclusion", a indiqué le RN à l'AFP, en rappelant qu'il n'était pas possible de retirer sa candidature.
Jordan Bardella promet de dissoudre "toutes les organisations d'ultragauche et d'ultradroite", y compris le GUD
Jordan Bardella a assuré mercredi qu'il dissoudrait "toutes les organisations d'ultragauche et d'ultradroite" s'il devait arriver au pouvoir. Y compris le GUD (groupe union défense), actuellement dans le viseur de Gérald Darmanin qui a dénoncé sur BFMTV un groupe avec "beaucoup de gens du Rassemblement national".
"Si demain je suis à la tête du pays, je n'aurais aucune forme de tolérance à l'égard de ceux qui se livrent à de la violence dans notre pays", lui a répondu Jordan Bardella, en estimant que le ministre de l'Intérieur "devrait, au regard du bilan qui est le sien, être appelé à un peu plus d'humilité et commencer à faire ses cartons".
Viol et violences antisémites à Courbevoie: les politiques réagissent
Une jeune fille de 12 ans a été violée et menacée de mort sur fond d’antisémitisme, à Courbevoie (Hauts-de-Seine) le week-end dernier. Plusieurs adolescents ont été mis en examen. Les personnalités politiques réagissent.
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a lui dénoncé sur BFMTV "des faits ignobles, dans un contexte ou la violence des mineurs est extrêmement forte". "Ressaisissons-nous, cela doit cesser !" a écrit sur X la présidente sortante de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet.
Pour François Ruffin, député LFI sortant et membre du Nouveau Front populaire: "Ce crime odieux doit nous percuter au plus profond, sur ce qu’il révèle: le machisme crasse de jeunes hommes pour qui le corps des femmes est une chose, qui leur appartient. L'antisémitisme pour qui la judéité est une tare, un affront à l’honneur."
Cela doit "non seulement nous révolter, mais aussi nous engager. C'est la République toute entière qui doit se mobiliser pour éduquer, pour combattre et pour punir cette haine antisémite", selon l'ancien président François Hollande.
Viol et violences antisémites à Courbevoie: Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon politisent l'affaire
Alors que trois adolescents ont été mis en examen, après le viol et les menaces de mort d'une jeune fille de 12 ans sur fond d’antisémitisme, à Courbevoie (Hauts-de-Seine) le week-end dernier, Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen ont tous les deux réagi sur X.
"L’explosion des actes antisémites en hausse de 300% par rapport aux trois premiers mois de l’année 2023 doit alerter tous les Français: la stigmatisation des juifs depuis des mois par l’extrême gauche à travers l’instrumentalisation du conflit israélo-palestinien est une véritable menace pour la paix civile", écrit la leader du RN.
Cela "met en lumière le conditionnement des comportements masculins criminels dès le jeune âge, et (le) racisme antisémite. (...) Et qu'on ne transforme pas ce crime ni la souffrance qu'il engendre en spectacle médiatique", écrit le chef de file de LFI.
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Emmanuel Macron "nous place devant la possibilité d'une victoire de l'extrême droite", dénonce Benoît Hamon
"Je ne vais pas vous mentir, j'ai été stupéfait", indique Benoît Hamon sur France Inter à propos de la dissolution. L'ancien candidat socialiste à l'élection présidentielle, désormais en retrait de la vie politique, estime qu'Emmanuel Macron "nous place délibérément, consciemment, devant la possibilité, voire même l'imminence d'une victoire de l'extrême droite".
"Il avait lui-même annoncé qu'il ferait reculer l'extrême droite dans les urnes. Il a fini par faire une loi sur l'immigration avec les votes de l'extrême droite. Et là [il nous dit] 'vous avez trois semaines (...) débrouillez vous pour éviter le chaos", poursuit le fondateur du parti Génération.s.
Le Premier ministre réunit ce soir les candidats de son camp
Gabriel Attal, qui mène la campagne des législatives, réunit ce mercredi soir les candidats de son camp au siège de campagne de Renaissance pour "ressouder" et "mobiliser" ses troupes, selon l'AFP qui cite son équipe à Matignon. Cette réunion est organisée "en présentiel et en visio" pour "évidemment ressouder et mobiliser les candidats". Il s'agit d'un "moment fort de mobilisation", qui était "très attendu" par ces derniers, d'après l'AFP, qui confirme une information du Parisien.
Gabriel Attal, qui multiplie les interventions dans les médias et les déplacements, sera aussi l'invité du journal de 20h sur TF1. "Pleinement engagé dans cette campagne", il continuera aussi de soutenir des candidats en régions jeudi et vendredi.
Polémique sur le changement de genre: l'Elysée défend la position de Macron
L'Elysée a défendu ce mercredi la position controversée d'Emmanuel Macron contre "le changement de sexe, libre, en mairie" qu'il a pris en exemple des "choses totalement ubuesques" figurant, selon lui, dans le programme électoral du Nouveau Front populaire.
"Le président a un bilan de progrès sur les questions sociétales comme peu de ses prédécesseurs", a plaidé son entourage auprès de l'AFP. Il "considère pour autant que le changement de sexe, libre, en mairie n'est pas un projet de société qu'il défend au regard de la complexité de toutes les questions que cela soulève chez les personnes concernées qu'il faut accompagner quand elles decident d'entrer dans une telle démarche", a dit son entourage à l'AFP. L'alliance de gauche propose d'"autoriser le changement d'état-civil libre et gratuit devant un officier d'état civil".
Le programme économique du Nouveau Front populaire présenté "ce soir"
Le programme économique du Nouveau Front populaire devrait être présenté "ce soir" lors d’une conférence de presse, a annoncé Fabien Roussel sur franceinfo. Le secrétaire national du Parti communiste français (PCF) a indiqué que son chiffrage était en train d’être "finalisé".
Gérald Darmanin va "proposer la dissolution du GUD"
"Je vais proposer au président de la République la dissolution du GUD (groupe union défense)", dit le ministre de l'Intérieur sur BFMTV, parlant d'un "groupe d'ultradroite très ami avec beaucoup de gens du Rassemblement national", du moins ses "dirigeants", pas forcément ses "électeurs".
"Ce sont des gens qui pensent qu'il y a une suprématie blanche, qui ont des propos antisémites extrêmement graves", dit Gérald Darmanin. Se défendant de tout "opportunisme" malgré le contexte électoral, il affirme que le gouvernement travaille sur cette dissolution depuis "neuf mois".
Gérald Darmanin dénonce des "fichés S" proches "des extrêmes"
Gérald Darmanin dénonce des "fichés S" "investis" ou "amis" avec la gauche ou avec l'extrême droite. "Tous les amis de madame Le Pen ne sont pas des grands démocrates."
Par ailleurs, il évoque "504.000 enquêtes administratives" pour le dispositif de sécurité des JO de Paris 2024. La France est "prête", assure-t-il, taclant au passage Jordan Bardella.
553.000 procurations enregistrées, selon Gérald Darmanin
Le ministre de l'Intérieur donne le chiffre de 553.000 procurations enregistrées pour les prochaines législatives.
Gérald Darmanin reconnaît "une claque électorale"
Le ministre de l'Intérieur reconnaît "une claque électorale" aux élections européennes, sur BFMTV.
Le ministre de l'Intérieur avoue "ne pas avoir été consulté" par Emmanuel Macron avant la dissolution. "Ce n'est pas dans sa nature (…), c'est son pouvoir seul (...) Il a fait un appel au peuple."
"La France insoumise ou le Rassemblement national, ce sera l'aventure et la ruine."
Gérald Darmanin juge que Jordan Bardella n'est "pas prêt pour le pouvoir"
Jordan Bardella n'est "pas prêt pour le pouvoir", estime le ministre de l'Intérieur. Dénonçant les changements de discours du parti d'extrême droite sur son programme, il parle d'une "politique du tango": "un pas en avant, deux pas en arrière".
Gérald Darmanin oppose trois camps
Invité sur BFMTV, le ministre de l'Intérieur, qui est candidat à sa réélection dans le Nord pour les législatives, parle de "trois fronts". Celui des "Insoumis, que portent (Jean-Luc) Mélenchon et ses amis", celui du "Front national (devenu Rassemblement national) qui veut trier les Français selon leurs origines" et son camp, un "front républicain". "Le choix, c'est la République."
Gérald Darmanin estime qu'Éric Ciotti a commis "un crime contre l'honneur pour la droite française". Il accuse le Rassemblement national de "trier les Français selon leurs origines", avant de mettre en cause Éric Ciotti pour son alliance avec l'extrême droite.
"Ce qu'a fait monsieur Ciotti est un crime contre l'honneur pour la droite française."
Plus de 550.000 procurations déjà enregistrées
Les Français continuent à faire des procurations en vue des législatives (30 juin et 7 juillet) puisque, selon les informations de BFMTV, plus de 550.000 ont déjà été enregistrées par les autorités.
Bruno Retailleau interrogé sur Gilles Bourdouleix
"Ça ne nous compromet pas", estime le patron du groupe LR au Sénat, interrogé sur les propos racistes tenus par Gilles Bourdouleix, LR investi par le RN et auparavant proche de Bruno Retailleau. Des propos qui ont été condamnés par la justice.
"Il a rendu compte devant la justice" et "ça n'est pas sous les couleurs de LR qu'il concourt aujourd'hui", défend Bruno Retailleau. "Il n'est pas raciste, il lui arrive d'avoir des colères. Il a vraiment fait une faute et a été sanctionné, depuis il est passé dans le camp d'Eric Ciotti."
"Ça ne nous compromet pas, je me bats au côté de candidats courageux qui portent nos couleurs, nos valeurs, nos convictions."
Bruno Retailleau dénonce "le programme économique" du RN, mais reconnaît des points d'accord
"On est au bout d'un cycle, la France est au bord de l'effondrement, en déficit économique, budgétaire, on a besoin d'une vision, de hauteur", estime Bruno Retailleau sur RMC-BFMTV.
"Quelle est la vision de la France du RN? Je ne peux pas le dire puisqu'il change d'avis en permanence."
"Leur programme est un programme d'affaiblissement économique", estime Bruno Retailleau. "On peut se retrouver sur certains points, notamment sur l'immigration", reconnaît-il.
Il faut du "régalien, de l'autorité, de la souveraineté" pour la droite, qui doit "se remettre en question".
Laurent Wauquiez est "courageux", estime Bruno Retailleau
Le président du groupe LR au Sénat "salue" sur RMC-BFMTV la décision de Laurent Wauquiez de se présenter aux élections législatives, en Haute-Loire.
Laurent Wauquiez est "en ligne", "sur le terrain, au combat", selon Bruno Retailleau. "Il aurait très bien pu 'se la couler douce' à la tête d'une des grandes régions de France (à la présidence d'Auvergne-Rhône-Alpes)", estime-t-il.
"Il a choisi d'aller sur le terrain pour être candidat. Il est monté en première ligne, c'est un acte courageux."
"On sera un bouclier", dit Bruno Retailleau
"Il n'y aura vraisemblablement pas de majorité absolue" à l'issue des élections législatives, estime Bruno Retailleau sur RMC-BFMTV. "Il n'y aura vraisemblablement pas de majorité absolue dans quelques semaines."
"Il faudra rebâtir une force politique d'alternance qui ne s'iscrive pas dans ce tripartisme" avec "un bloc central et deux ailes radicales", selon le chef des sénateurs LR.
"Je pense qu'on sera un bouclier" contre "le Front populaire, qui est le front de la honte pour moi, en matière d'économie, de sécurité, d'immigration, d'identité" mais aussi contre l'extrême droite qui serait "la ruine pour notre pays".
"Je pense qu'on sera ce parti du raisonnable, du sérieux."
Les LR pourraient-ils voter avec le RN sur certaines lois? "Le RN est un parti qui change d'avis" et "démagogique".
"J'endosse totalement l'avis de mon ami François Fillon", qui estime que le gauche serait "pire" que l'extrême droite.
"Nous aurons des candidats au second tour", dit Bruno Retailleau
"Nous aurons des candidats au second tour", assure Bruno Retailleau, qui ne répond pas à la question de son appel au vote en cas de seconds tours entre le Nouveau Front populaire et le RN.
"Les Républicains, c'est nous", dit Bruno Retailleau sur RMC-BFMTV
"Les Républicains, c'est nous. Les choses sont très claires. Les candidats d'Éric Ciotti qui se sont déclarés en préfecture (...) ne sont pas rattachés à LR (...) mais au micro parti d'Éric Ciotti", indique Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat, invité de RMC-BFMTV.
Ils "n'ont pas utilisé pas l'étiquette LR", ni le "financement" par l'association liée au parti, explique Bruno Retailleau. Eux-même "n'ont pas osé se revendiquer LR, parce qu'ils savent que c'est fragile juridiquement", selon lui. "Le ministère de l'Intérieur parle d'ailleurs d'union de l'extrême-droite", poursuit-il.
"On est en démocratie, un homme seul ne peut pas entrainer des dizaines de milliers de militants là où on ne l'a pas autorisé à le faire, on n'est pas une dictature, c'est notre statut, notre règle", dit encore Bruno Retailleau.
"Éric Ciotti a lui-même été dissous dans le bloc du Rassemblement national."
"Ce n'est pas lui qui tient cette ligne, il n'est qu'un supplétif", juge-t-il à propos de l'accord noué entre Éric Ciotti et le RN. "On ne s'allie pas avec le Rassemblement national, on se soumet", dit le chef des sénateurs LR, refusant de parler d'"alliance".
Jean-Claude Mailly ne met pas de "signe égal" entre la gauche et le RN
"Ce n'est pas la même chose quand même, je ne mets pas un signe égal entre les deux. L'extrême droite au pouvoir, on ne sait jamais ce qu'elle y fait et ce qu'il en sort", souligne Jean-Claude Mailly sur RMC.
"La décision du président d'avoir dissous, soi-disant responsable, je pense que c'est la décision la plus con qu'il a pu prendre, c'est tellement coupé de la réalité."
Des choses "pas acceptables chez LFI" selon Jean-Claude Mailly
Appelant à faire des distinctions au sein du Nouveau Front populaire, Jean-Claude Mailly ne se range pas derrière LFI. "C'est calculé, les tweets de (Jean-Luc) Mélenchon qui frisent l'antisémitisme, ce n'est pas acceptable pour moi", explique-t-il sur RMC, qui reconnaît que le leader de LFI "est revenu dessus". "Je ne dis pas que Jean-Luc Mélenchon est antisémite", clarifie-t-il.
"On dit souvent 'chez les trotskystes, quand ils sont trois il y a une scission'", ironise l'ancien syndicaliste. "Les purges ça existe, l'objectif c'est qu'il y ait le bordel et du chaos, car "il peut" en "naître la révolution".
"C'est de la provocation calculée, c'est une stratégie. Je ne peux pas me retrouver là-dedans."
"Les convictions font les alliances, pas l'inverse", selon Jean-Claude Mailly
"Ce sont les convictions qui font les alliances et pas l'inverse", estime Jean-Claude Mailly, interrogé sur le Nouveau Front populaire, sur RMC.
"Ils ont commencé par se répartir les postes, ça ne tient pas la route."
Il "faut faire attention, ce n'est pas n'importe quoi", poursuit-il, en mettant en garde contre la faisabilité économique du programme du Nouveau Front populaire. "On a l'habitude des promesses et une fois au pouvoir, ils remisent les promesses, il faut les réaliser."
Jean-Claude Mailly pas en phase avec l'appel de la CGT
Invité sur RMC, Jean-Claude Mailly, ancien secrétaire général de Force Ouvrière (FO), n'est pas en phase avec l'appel au vote pour le Nouveau Front populaire lancé par Sophie Binet, leader de la CGT: "Ce n'est pas ma conception du syndicalisme, qui doit rester en dehors des joutes politiques, même s'il peut donner ses positions et ses revendications."
La CGT a décidé non pas d'appeler à voter contre l'extrême droite, mais de voter pour une liste, le Nouveau Front populaire. Décision adoptée après un vote des 130 membres du comité confédéral national, hier.
"En même temps, ce n'est pas surprenant puisque la secrétaire générale Sophie Binet a assisté au meeting (du Nouveau Front populaire) à Montreuil", rappelle-t-il.
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Éric Ciotti "assume" que l'allliance RN-LR "a pu heurter"
Dans une vidéo publiée sur son compte X, Éric Ciotti est revenu mardi sur son "alliance électorale" avec le Rassemblement national qui permet de réaliser, selon lui, "l'union des droites". Il évoque "une décision rapide, mais réfléchie".
Le président de LR, pour l'heure encore à la tête du parti après la suspension de son exclusion, "assume" une décision "nécessaire" pour sa famille politique, tout en reconnaissant qu'elle "pu heurter" certains sympathisants de droite.
Selon Michèle Tabarot, Éric Ciotti "ne sera plus à la tête" de LR "le 30 juin"
Auparavant très proche de lui, Michèle Tabarot, qui est aussi députée sortante des Alpes-Maritimes, souhaite voir Éric Ciotti quitter Les Républicains ainsi que la présidence du parti, après son alliance avec l'extrême droite pour les législatives. Auprès de Nice-Matin, elle assure que cela devrait arriver, LR ayant déjà voté l'exclusion d'Éric Ciotti en bureau politique, avant que le tribunal judiciaire de Paris n'invalide cette décision.
"Nous avons réuni en une journée les signatures de plus de 700 membres du conseil national de LR qui demandent à Éric Ciotti, en vertu de l’article 24.3 de nos statuts, de convoquer un bureau politique avec son éviction de la présidence à l’ordre du jour", explique Michèle Tabarot. "Ce bureau doit être réuni sous huitaine; il rendra sa décision avant le premier tour des législatives. Le 30 juin, Éric Ciotti ne sera plus à la tête de notre parti. On pourra enfin y voir plus clair."
Les entreprises s'inquiètent du programme du RN
Dissolution: Emmanuel Macron tente de justifier sa décision
Emmanuel Macron justifie la dissolution et fustige le programme de la gauche
La décision de dissoudre l'Assemblée nationale était "la solution la plus responsable", a assuré hier Emmanuel Macron, qui a qualifié le programme du Nouveau Front populaire de "totalement immigrationniste", en marge d'un déplacement sur l'île de Sein (Finistère).
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Législatives: la position de Jordan Bardella sur l'Ukraine attendue
Bonjour et bienvenue sur ce live sur les élections législatives.
À 11 jours du 1ᵉʳ tour des législatives, le président du Rassemblement national Jordan Bardella se rend mercredi au salon de défense Eurosatory où il pourrait clarifier ses positions sur l'Ukraine, sur Israël et aborder les questions internationales, l'une des principales épines pour son parti.