Les sites du groupe
Les restes de Kirk Handley ont été découverts par un randonneur près de Villar-d'Arêne, ce dimanche. Le Britannique de 60 ans était porté disparu depuis le 7 septembre 2024.
La France est plongée dans une canicule record cette semaine. Une vague de chaleur qui s'explique en partie par une tempête tropicale du nom de Dexter.
Une femme a reçu plusieurs coups de cutter à la gorge et à l'épaule, en public à Nanterre, samedi. La victime a été hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger. L'auteur présumé s'est mutilé les veines mais son pronostic vital n'est plus engagé. Le maire Raphaël Adam a dénoncé une tentative de féminicide".
Dans une tribune publiée par « La Tribune Dimanche », la ministre chargée du numérique Clara Chappaz, accompagnée de deux autres signataires, alerte les parents sur les risques liés à la publication de photos d’enfants sur les réseaux sociaux. Selon eux, près d’une image d’enfant sur deux diffusée en ligne est détournée et circulerait sur des forums pédocriminels. Ils appellent les parents à réfléchir avant de publier : l’enfant souhaite-t-il vraiment apparaître en ligne ? Cette exposition le protège-t-elle ou le met-elle en danger ? La tribune conseille de privilégier l’envoi de photos en privé, floutées ou prises de loin. Alors que 53 % des parents français partagent déjà des images de leurs enfants, ce rappel à la prudence intervient dans un contexte où la lutte contre la pédocriminalité sur internet reste une priorité.
Le maire écologiste de Grenoble, Éric Piolle, réitère son intention de "casser les ghettos de riche" en renforcant la construction de logements sociaux. "Il n’a pas la réalité du terrain de Grenoble", dénonce ce lundi sur RMC Guy, policier grenoblois. "De la mixité sociale, il y en a toujours eu. Des quartiers, il y en a. Je ne vois pas ce que ça va apporter de plus."
Les grandes marées sont de retour du 11 au 14 août dans la Manche. La préfecture maritime appelle à la vigilance. 193 personnes sont mortes par noyade depuis le 1er juin dernier.
En difficulté, le groupe Novasco, nouveau nom du sidérurgiste Ascometal depuis sa reprise en juillet 2024 par le fonds d'investissement Greybull capital, a été placé en redressement judiciaire par le tribunal de Strasbourg.
Roxane (26 ans) et Margaux (24 ans) Lebrun ne sont pas sportives de haut niveau, mais volontaires engagées aux JO de Paris 2024. Elles ont travaillé au live scoring des matchs de tennis de table.
À quelques semaines du début de la saison des vendanges, les viticulteurs lancent leur opération séduction pour attirer des saisonniers. Un sacré casse-tête pour la profession, qui doit savoir se vendre alors que le travail est exigeant physiquement et payé aux alentours du SMIC.
"On est devenu un pays du tiers-monde !" explique Didier Giraud alors que plusieurs trains sont supprimés par précaution à cause de la canicule.
Après l'incendie meurtrier survenu dans l'Aude, qui a ravagé 16.000 hectares, des gendarmes spécialisés interviennent dans la commune de Ribaute afin de déterminer les circonstances du départ de feu. Un travail de longue haleine, basé notamment sur les témoignages.
L'éleveur de bovins Didier Giraud s'est dit surpris, ce lundi dans "Les Grandes Gueules", par le souhait de Sandrine Rousseau d'acquérir un bien immobilier dans le Finistère, en Bretagne. L'élue écologiste a qualifié de "démesurée" et "viriliste" la réaction de certains agriculteurs et la Coordination rurale du Finistère.
Le chercheur à l'Institut français d'analyse stratégique David Rigoulet Roze a vivement critiqué, sur RMC, le plan annoncé par Benjamin Netanyahu pour Gaza. Ce dernier est très contesté en Israël, à la fois par ses adversaires politiques et la famille des otages.
Canicule intense dans le Sud-Ouest : 12 départements sont en vigilance rouge, dont le Lot. À Cahors, la chaleur vide les rues en journée alors que 41°C sont attendus ce lundi.
La directrice l’Observatoire contre les violences numériques faites aux mineurs e-Enfance Véronique Béchu a rappelé, ce lundi sur RMC, les dangers que représente la publication de photos d'enfants sur les réseaux sociaux. Et ce au lendemain d'une tribune publiée dans "La Tribune dimanche" par le gouvernement à ce propos.
Après une première vague de chaleur en juin qui avait déjà causé d'importants dégâts dans les champs, l’agriculture française doit faire face à un nouvel épisode caniculaire. Marie-Amélie Viargues présidente de la FDSEA, témoigne au micro de RMC.
180 km, 5 jours et 5 nuits dans la Méditerranée, sans dormir, pour rallier à la nage Calvi à Monaco. C'est le défi fou de Noam Yaron avec un objectif : mettre en avant la protection de la mer.
Après l'annonce du départ de deux nouveaux psychiatres, le centre hospitalier de Laval n'en aura plus qu'un seul à partir de novembre. De quoi inquiéter les infirmiers du service, déjà à bout.
Ligue 1+, également appelée Ligue 1 Plus, est une chaîne de télévision sportive par abonnement, totalement dédiée à la Ligue 1. Elle est détenue par LFP Media et diffusée en OTT (streaming direct), IPTV et via les box des opérateurs.
La Ligue de Football Professionnel (LFP) a dévoilé ce lundi sa nouvelle plateforme de diffusion Ligue 1+, destinée à remplacer l'éphémère DAZN. Cette nouvelle offre permet de suivre huit matchs sur neuf chaque week-end, accompagnés de magazines dédiés et de contenus complémentaires. Un tarif de lancement à 9,99€ pour les trois premiers mois est proposé jusqu'au 31 août, sous réserve d’un engagement de 12 mois. Au-delà de cette date, plusieurs formules seront disponibles, allant de 10 à 20 euros par mois, avec une offre spécifique pour les moins de 26 ans à 9,99€, et une version mobile à 14,99€. Seul le match du samedi à 17h restera sur beIN Sports, nécessitant un abonnement supplémentaire. Au total, il faudra au moins 25 euros par mois pour suivre l’intégralité du championnat.
Ligue 1+ est une chaîne de télévision sportive par abonnement, totalement dédiée à la Ligue 1. Elle est détenue par LFP Media et diffusée en OTT (streaming direct), IPTV et via les box des opérateurs.
Douze départements du Sud-Ouest ont été placés en vigilance rouge canicule ce lundi par Météo-France. À Carcassonne, la température a déjà atteint 30°C dès le matin, avec des pics attendus jusqu’à 40°C à midi. Cette vague de chaleur touche également Toulouse, Montélimar, Bordeaux et Montpellier, où les maximales oscilleront entre 37 et 41°C. Au total, 41 départements sont en vigilance orange, et 30 autres en jaune. Il s'agit de la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947, après un premier épisode survenu fin juin. Même la Bretagne, jusque-là épargnée, devrait connaître des températures exceptionnellement élevées, proches de 36°C.
Le président de la SPA Jacques-Charles Fombonne a rappelé, ce lundi sur RMC, les gestes et les bons réflexes à adopter pour aider les animaux de compagnie à supporter les fortes chaleurs, qui sévissent actuellement sur une bonne partie de l'Hexagone.
Dans une tribune publiée par "La Tribune Dimanche", la ministre chargée du numérique Clara Chappaz, accompagnée de deux autres signataires, alerte les parents sur les risques liés à la publication de photos d’enfants sur les réseaux sociaux. Selon eux, près d’une image d’enfant sur deux publiée en ligne finit par être récupérée et détournée sur des forums pédocriminels. Ils appellent ainsi les familles à s’interroger avant de partager ces contenus : l’enfant souhaite-t-il réellement apparaître ? Cette visibilité le protège-t-elle ou l’expose-t-elle ? Véronique Béchu, directrice de l’Observatoire contre les violences numériques en Enfance, renchérit en mettant en garde : "Il y a des risques à ces publications parce que ces contenus sont récupérés par les pédocriminels qui se les échangent entre eux." Elle insiste fermement : "Ne publiez pas de photos de vos enfants sur les réseaux !" Avec plus de la moitié des parents français (53%) partageant déjà des images de leurs enfants sur internet, cette mise en garde intervient dans un contexte où la lutte contre la pédocriminalité en ligne demeure une priorité nationale. La tribune recommande notamment de privilégier les messages privés, les photos floutées ou prises à distance, afin de limiter l’exposition et protéger les enfants.
La Ligue de Football Professionnel (LFP) dévoile sa nouvelle plateforme de diffusion, Ligue 1 +, destinée à remplacer l’ancienne application DAZN. Cette offre propose aux abonnés de suivre près de huit matchs sur neuf chaque week-end, ainsi que des magazines dédiés, pour un tarif avantageux de 9,99€ les trois premiers mois, à condition de s’engager sur 12 mois. Passé le 31 août, les abonnements varieront entre 10 et 20 euros, avec des réductions pour les moins de 26 ans et une offre mobile. Seul le match du samedi à 17h restera diffusé sur beIN Sports, pour un coût supplémentaire. Cette initiative intervient après l’échec de DAZN, qui proposait une offre plus chère (30€) mais moins flexible. La plateforme autorise aussi le partage simultané du compte avec un autre utilisateur, même hors foyer. Les fans de football restent cependant mitigés, certains se disant prêts à tester le service, tandis que d’autres préfèrent encore des alternatives, légales ou non. Le premier match diffusé sur Ligue 1 + sera Rennes-Marseille, vendredi prochain. Pour la LFP, c’est un pari important pour fidéliser les abonnés et sécuriser les revenus de la Ligue 1.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a présenté dimanche le nouveau plan d'opération de l'armée dans le territoire palestinien, y promettant par ailleurs une augmentation de l'aide humanitaire.
Avec la vigilance rouge canicule qui touche 12 départements du sud-ouest, Cahors s'apprête à affronter des températures extrêmes et un air irrespirable. Ce lundi, la chaleur devrait grimper jusqu'à 41°C, rendant la reprise du travail particulièrement difficile pour les habitants. La ville, comme toute la région, doit faire face à des conditions éprouvantes, entre fatigue accrue et risques sanitaires liés à cette vague de chaleur intense. Les autorités appellent à la vigilance et recommandent d’adapter les rythmes de travail pour limiter les risques.
L'épisode de canicule qui a débuté vendredi doit encore monter d'un cran lundi, avec une chaleur "d'un niveau exceptionnel" dans le Sud-Ouest, où 12 départements sont classés en vigilance rouge par Météo-France.
Le centre hospitalier de Laval, en Mayenne, fait face à une crise majeure : en seulement trois ans, son équipe de psychiatrie est passée de 12 praticiens à un seul. D’ici novembre, deux nouveaux départs réduiront encore la discipline à un médecin à temps plein pour tout le service. Pour tenter de pallier cette situation, trois psychiatres du CHU d’Angers interviendront trois jours par semaine à partir du 2 novembre, afin d’assurer la continuité des soins et l’encadrement des internes. Mais pour les infirmiers et psychologues du service, cette solution reste insuffisante. Ils dénoncent une prise en charge à risque, susceptible d’entraîner des erreurs graves, voire des suicides de patients. Les représentants de Force Ouvrière ont alerté l’ARS et le cabinet du ministre de la Santé tandis que les professionnels de santé sont profondément préoccupés : un Français sur quatre connaîtra des troubles psychiatriques durant sa vie, et la santé mentale avait été désignée grande cause nationale du quinquennat. Dans ce contexte, la fermeture progressive d’un service psychiatrique devient une urgence qui interpelle.
Après plusieurs jours de lutte acharnée, les pompiers sont parvenus à maîtriser l’incendie qui a ravagé le massif des Corbières, dans l’Aude. La préfecture a confirmé lundi soir que le feu était désormais sous contrôle, après un week-end particulièrement difficile marqué par dix réactivations de foyers. Au total, 16 000 hectares ont été parcourus par les flammes, dont 13 000 brûlés. Le bilan est lourd : 36 maisons ont été détruites, plus d’une vingtaine de hangars agricoles touchés, et une femme de 65 ans est décédée. Une autre habitante a été grièvement brûlée, et 19 pompiers ont été blessés. La vigilance reste de mise : 25 départements sont encore en alerte orange pour risque de feu de forêt et 12, dont l’Aude, en vigilance rouge canicule. Des militaires formés aux incendies sont attendus en renfort pour surveiller les points chauds. Sur place, les habitants et les commerçants accusent le coup. Certains, comme Elisabeth, restauratrice, envisagent déjà de quitter les lieux, désespérés par les pertes économiques à venir. "Sans aide de l’État, on ne survivra pas", déplore-t-elle.
L'épisode de canicule qui a débuté vendredi doit encore monter d'un cran lundi, avec une chaleur "d'un niveau exceptionnel" dans le Sud-Ouest, où 12 départements sont classés en vigilance rouge par Météo-France.
À quelques semaines du début des vendanges, les viticulteurs redoublent d'efforts pour recruter. Près de 1 200 offres sont actuellement en ligne sur France Travail, pour des postes de cueilleurs, porteurs ou encore trieurs. Tous les bassins viticoles français sont concernés, et chacun mise sur ses propres atouts pour séduire les candidats. En Bourgogne, les étudiants sont particulièrement ciblés : les récoltes démarrant avant la rentrée, certaines exploitations organisent des navettes depuis les campus. En Champagne, certains vignerons utilisent les réseaux sociaux pour diffuser leurs annonces, misant sur des photos de convivialité pour illustrer l'ambiance de travail. D’autres préfèrent déléguer à des prestataires privés, notamment en Provence, pour éviter les démarches administratives. Les viticulteurs peuvent aussi compter sur le soutien des institutions publiques, qui proposent des dispositifs d’aide au logement ou de découverte professionnelle pour rendre ces missions saisonnières plus attractives. Un enjeu crucial alors que la main-d’œuvre se fait de plus en plus rare chaque été dans les vignes.
Le haut-commissaire au Plan François Bayrou a confirmé dans un document envoyé aux partenaires sociaux sa volonté de supprimer deux jours fériés, dès le budget 2026. Le lundi de Pâques et le 8 mai sont pour l’instant ciblés, mais les dates exactes restent à discuter. L’objectif est double : allonger le temps de travail en France, l’un des pays les moins travaillés d’Europe selon Bayrou, et renflouer les caisses publiques. Ces deux journées supplémentaires permettraient à l’État de récupérer 4,2 milliards d’euros. Le principe reprend celui du lundi de Pentecôte : 14 heures de travail en plus… non rémunérées. En clair, travailler plus, pour gagner pareil. L’entreprise, de son côté, verse une contribution symbolique à l’État. Mais la mesure est loin de faire consensus. Techniquement difficile à mettre en œuvre dans certains secteurs, économiquement incertaine, elle est aussi très impopulaire : 69 % des Français y sont opposés, tout comme les syndicats, qui dénoncent une « remise en cause des acquis sociaux ».
L'épisode de canicule qui a débuté vendredi doit encore monter d'un cran lundi, avec une chaleur "d'un niveau exceptionnel" dans le Sud-Ouest, où 12 départements sont classés en vigilance rouge par Météo-France.
La préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord lance une vigilance renforcée ce lundi et mardi en raison de fortes grandes marées, avec des coefficients supérieurs à 90. Ce phénomène, qui devrait durer jusqu’à jeudi, rend la mer particulièrement dangereuse, notamment pour les baigneurs et plaisanciers. L’été 2025 s’avère déjà très meurtrier, avec près de 200 noyades mortelles enregistrées depuis juin, un chiffre en hausse de 45 % par rapport à 2024. Le dernier drame en date concerne un enfant emporté par le courant à Gravelines le 2 août. Les autorités recommandent à tous les usagers de la mer de bien consulter les horaires des marées, de vérifier les conditions météorologiques, de ne jamais partir seul et de prévenir un proche avant chaque sortie. Sur les plages comme Berck-sur-Mer, les sauveteurs multiplient les actions de prévention face au danger des poches d’eau piégées sur le sable, qui représentent un risque important à chaque marée montante. Avec un coefficient de marée prévu à 95 mardi, la prudence doit être redoublée.
Un rapport gouvernemental révèle qu'un véhicule sur cinq concerné par les rappels liés aux airbags Takata a été vendu. Certains vendeurs reconnaissent ne pas avoir changé les équipements défectueux.
Un important incendie s’est déclaré ce dimanche dans l’usine Hydrapro à Lédenon, spécialisée dans la production de produits chlorés et classée Seveso. En raison du risque chimique, une partie des habitants proches du site a été confinée, certains évacués. Les pompiers du Gard et des Bouches-du-Rhône restent mobilisés pour maîtriser la situation et nettoyer le site. Selon la préfecture, le danger est désormais écarté. Une inspection est prévue pour déterminer l’origine du feu.
Cinq jours après l’agression violente du maire de Villeneuve-de-Marc (Isère), l’homme soupçonné des coups graves portés à l’élu a été mis en examen et placé en détention provisoire. L’agression, survenue mercredi en pleine journée devant le domicile du maire, a laissé Gilles Dussault avec un poumon et un bras transpercés. Le sexagénaire mis en cause, sans antécédent judiciaire, affirme que son geste est lié à un conflit prolongé avec le maire à propos de dégâts causés par un effondrement sur son cabanon. Malgré la gravité des blessures, le maire est sorti d’affaire. Le suspect nie toute intention de tuer.
Cinq journalistes d’Al Jazeera ont été tués dimanche lors d’une frappe israélienne à Gaza, dont Anas al-Sharif, reporter reconnu ciblé par Tsahal, qui le qualifie de "terroriste" et chef d’une cellule du Hamas. Depuis le début du conflit, près de 200 journalistes ont perdu la vie dans la région. La chaîne basée au Qatar dénonce une attaque ciblée contre son équipe, tandis que des ONG critiquent la campagne israélienne de diffamation visant les journalistes palestiniens. La liberté de la presse à Gaza reste très limitée, les médias étant soumis à une stricte censure militaire.
L'Aude, l'Isère, le Rhône, la Drôme et l'Ardèche resteront en vigilance rouge canicule ce mercredi. L'alerte sera levée dans les autres départements. Au total, 68 seront placés en alerte orange.
La vigilance rouge canicule est un dispositif exceptionnel déclenché lorsque les températures atteignent des niveaux très élevés et que les hôpitaux commencent à saturer. Créé en 2004, ce niveau n’a été activé pour la première fois qu’en 2019. La vigilance rouge a des impacts importants sur toute la population, affectant de nombreuses activités quotidiennes. Ce lundi matin, les départements concernés resteront en vigilance rouge jusqu’à demain 21h, avec un pic de chaleur attendu dès ce lundi.
La RATP a intégré Charlie, un Golden Retriever certifié médiateur, dans son dispositif interne de médiation. Ce dernier intervient lors des séances de médiation collective avec l’accord de tous les participants pour essyer de régler les conflits.
Douze départements du Sud-Ouest ont été placés en vigilance rouge canicule par Météo-France ce lundi. À Carcassonne, la chaleur se fait déjà sentir avec 30°C relevés dès le matin, et les températures devraient atteindre jusqu’à 40°C dès midi. Cette vague de chaleur intense concerne aussi des villes comme Toulouse, Montélimar, Bordeaux ou encore Montpellier, avec des maximales allant de 37 à 41°C. Au total, 41 départements sont en vigilance orange et 30 autres en jaune. Cet épisode marque la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947, après une première vague fin juin. La Bretagne, jusque-là épargnée, devrait aussi connaître des températures inhabituelles autour de 36°C.
Lors d’une conférence de presse à Jérusalem, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a présenté son plan d’opération pour Gaza, centré sur la « libération de la ville du Hamas » sans occuper durablement le territoire. Ce plan en cinq étapes vise à désarmer le Hamas, assurer le retour des otages, démilitariser Gaza, instaurer un contrôle sécuritaire israélien et créer une administration civile alternative. Netanyahou affirme qu’il s’agit du « meilleur moyen pour terminer la guerre » avant la date symbolique du 7 octobre. Il a également promis une augmentation de l’aide humanitaire et la protection des civils qui pourront évacuer vers des zones sûres. Cependant, ce plan suscite de fortes oppositions en Israël, où des manifestations rassemblant des dizaines de milliers de personnes ont eu lieu, notamment de familles d’otages craignant pour la vie de leurs proches. Le sous-secrétaire général de l’ONU met en garde contre une « nouvelle calamité » aux lourdes conséquences régionales. Sur le terrain, la Défense civile de Gaza a rapporté 27 morts dimanche, dont 11 civils attendant des vivres.
La multinationale Nestlé Waters est visée par une procédure judiciaire pour avoir laissé plus de 470 000 m³ de déchets plastiques s’écouler dans les sols vosgiens, soit l’équivalent de 126 piscines olympiques. Selon une enquête du parquet de Nancy, quatre décharges sauvages auraient été maintenues autour des sites de Contrexéville, They-sous-Montfort, Saint-Ouen-Les-Parey et Crainvilliers. Ces plastiques se seraient infiltrés dans les eaux superficielles et souterraines, libérant des microplastiques à des taux jugés “incommensurables” et rendant toute vie aquatique impossible. Les marques Contrex et Hépar, embouteillées dans la région, sont directement concernées. Le magistrat chargé de l’enquête estime que ces déchets sont à l’origine des fortes concentrations détectées à la sortie des forages.
Illya Zabarnyi arbore régulièrement des brassards ou rubans jaunes et bleus et participe à des campagnes de soutien, d’aide humanitaire et de collecte de fonds pour l’Ukraine.
La France subit ce lundi sa deuxième vague de chaleur de l’été, et la 51e depuis 1947. Un signe alarmant, selon le climatologue Jean Jouzel, ancien vice-président du GIEC, qui y voit la confirmation que les épisodes extrêmes deviennent une “nouvelle norme estivale”. Ce lundi, 12 départements du Sud-Ouest sont placés en vigilance rouge par Météo-France, avec des pics jusqu’à 42°C attendus localement. Il fera 41°C à Toulouse et Montélimar, 40°C à Bordeaux, et même 36°C en Bretagne. 41 autres départements sont en vigilance orange, 30 en jaune. Ces vagues de chaleur de plus en plus fréquentes inquiètent les scientifiques, alors que la précédente alerte rouge remontait à fin juin. Pour Jean Jouzel, l’intensité, la durée et la répétition de ces phénomènes doivent alerter sur l’urgence climatique.
La nuit a été très difficile à Cahors (Lot), où la chaleur n’est pas retombée malgré la tombée du jour. La ville, comme 11 autres départements du sud-ouest, a été placée en vigilance rouge canicule par Météo-France. Dans la journée, le mercure pourrait grimper jusqu’à 41°C à Toulouse ou Montélimar, 40°C à Bordeaux, 39°C à Montpellier, et même 42°C localement. En Bretagne, pourtant jusque-là relativement épargnée, il fera jusqu’à 36°C au plus chaud. Au total, 41 départements sont désormais en vigilance orange, 30 en jaune. Il s'agit de la 51e vague de chaleur recensée en France depuis 1947, selon les données officielles. À Cahors, comme dans d'autres communes touchées, les habitants peinent à trouver le sommeil. L'air est irrespirable, même la nuit, et les autorités recommandent de limiter les déplacements, de s’hydrater régulièrement et d’éviter toute activité physique intense.
Le gigantesque incendie survenu mardi dans le massif des Corbières a été "maîtrisé" dimanche par les 1.300 pompiers toujours mobilisés, en vigilance maximale, pour éviter des réactivations, comme il y en a eu plusieurs dans la journée.
Le gouvernement prévoit de supprimer le caractère férié du lundi de Pâques et du 8 mai dès 2026 afin d’augmenter les recettes publiques, une mesure présentée le 15 juillet par François Bayrou. Ce week-end, Matignon a officiellement sollicité les partenaires sociaux pour engager des négociations, dont le délai est court : ils doivent se positionner d’ici au 1er septembre, avec une possible conclusion avant le 30 septembre. L’objectif est clair : faire travailler les salariés du public comme du privé deux jours de plus par an sans heures supplémentaires, l’intégralité de ce « surplus » de production devant être reversée à l’État. Selon le Premier ministre, cette mesure devrait rapporter plus de 4 milliards d’euros. Cette proposition suscite une vive opposition. La CFDT la juge « inacceptable », et une pétition portée par les syndicats a déjà recueilli plus de 300 000 signatures. De plus, 77 % des Français s’y déclarent défavorables selon un sondage Ifop. L’intersyndicale dénonce un retour en arrière sur « 70 ans de luttes et d’acquis sociaux ».