
Inéligibilité de Marine Le Pen : "La décision rendue est tyrannique !", assure Jean-Philippe Tanguy
Inéligibilité de Marine Le Pen : "La décision rendue est tyrannique ! On est innocent", assure Jean-Philippe Tanguy sur le plateau des GG.
Inéligibilité de Marine Le Pen : "La décision rendue est tyrannique ! On est innocent", assure Jean-Philippe Tanguy sur le plateau des GG.
Alors que le Rassemblement national a annoncé un rassemblement en soutien à Marine Le Pen dimanche à Paris, la cheffe des Écologistes Marine Tondelier, a assuré ce jeudi que la gauche préparait une mobilisation pour faire face à ce meeting.
David Lisnard a proposé la mise en place d’une primaire allant de Gabriel Attal à Éric Zemmour sans le Rassemblement National.
Suite à la condamnation de Marine Le Pen, certains dénoncent la politisation du Syndicat de la magistrature. David Lisnard, maire de Cannes, appelle même à l’interdire. Emmanuel de Villiers répond : "Il ne faut pas l'interdire, mais le contraindre".
Après la colère, le Rassemblement national chercherait-il à calmer le jeu? Après les condamnations dans l'affaire des assistants parlementaires européens et en attendant le rassemblement de soutien à Marine Le Pen dimanche à Paris, le parti semble lisser quelque peu son discours. "On a aucune volonté de semer le trouble" affirme un élu.
Le Rassemblement National se prépare activement pour son rassemblement de soutien à Marine Le Pen, prévu ce dimanche après-midi à Paris, place Vauban. Cette réunion intervient après la condamnation de la présidente du parti, lundi dernier, pour détournement de fonds publics, ce qui l’empêche pour l’instant de se présenter à la prochaine élection présidentielle. Le parti d'extrême droite espère rassembler des militants venus de toute la France. À trois jours de l’événement, le Rassemblement National cherche à soigner son image, en modérant les accusations d’une justice partiale. Marine Le Pen a donné des consignes à ses troupes de "baisser d’un ton" après 24 heures de critiques contre les juges. L’objectif est de faire de ce meeting un rassemblement pacifique et non un acte de contestation de la justice. Le parti met l’accent sur le soutien à sa présidente et assure qu'il n'y a aucune volonté de provoquer des troubles, évoquant même des discussions avec le ministère de l'Intérieur pour éviter tout incident.
Le Rassemblement National se prépare activement pour un meeting de soutien à Marine Le Pen, prévu ce dimanche après-midi. Ce rassemblement intervient après la condamnation de la présidente du parti, lundi dernier, pour détournement de fonds publics, une décision qui l'empêche temporairement de se présenter à la prochaine élection présidentielle. Le parti d'extrême droite espère attirer des militants venus de toute la France, pour un rassemblement qui se tiendra place Vauban, dans le 7e arrondissement de Paris, derrière les Invalides.
Les députés ont approuvé mercredi en commission la réforme du scrutin municipal à Paris, Lyon et Marseille, une réforme qui divise la coalition gouvernementale, et qui prévoit de faire élire dès 2026 les conseillers municipaux des trois villes sur une circonscription unique, et non plus par arrondissement ou secteur.
Depuis la condamnation de Marine Le Pen, certains dénoncent une décision politique, et remettent le gouvernement des juges au centre du débat. Mais c’est une expression employée à tort. On vous explique pourquoi.
Le député EELV Benoît Biteau a dénoncé ce mercredi au micro des "Grandes Gueules" une "fraude organisée" en référence à la condamnation de Marine Le Pen pour détournement de fonds publics, voulant rappeler le fond de l'affaire. Et ce alors que les débats se concentrent sur l'exécution provisoire de la peine d'inéligibilité de l'ancienne présidente du RN.
Emmanuel Macron a rappelé mercredi en Conseil des ministres que la "justice est indépendante" et que les magistrats doivent être protégés, après la condamnation de Marine Le Pen qui suscite des attaques contre les juges. Il a aussi ajouté que "chacun a le droit à une justice équivalente et que le droit est le même pour tout le monde".
Le président du parti d'extrême droite Reconquête Eric Zemmour a été condamné mercredi par la cour d'appel de Paris à 10.000 euros d'amende pour contestation de crime contre l'humanité.
Ce mardi à l'Assemblée nationale, les propos de François Bayrou ont provoqué un vif émoi. Le Premier ministre a exprimé des interrogations sur l'exécution provisoire de l'inéligibilité de Marine Le Pen, sans remettre en cause la condamnation elle-même. Ses déclarations ont semé le trouble, avec des critiques provenant tant des oppositions que de son propre camp. Des membres du bloc macroniste ont dénoncé une atteinte à l'indépendance de la justice, tandis que des élus du MODEM, son propre parti, ont jugé cette prise de position maladroite, voire hors de propos, notamment en ce qui concerne l'idée de remettre en cause la loi ayant conduit à la condamnation de Marine Le Pen.
Il est "impensable" de faire un traitement de faveur avec "une loi d'exception pour sauver Madame Le Pen", a fustigé mercredi Xavier Bertrand.
Inéligibilité de Marine Le Pen : "Sa défense était ridicule. Moi, son avocat, je le licencie tout de suite. L'espoir ne meurt jamais. Elle sera forcément condamnée", affirme Daniel Cohn-Bendit
Ce mardi 1 avril, la cour d’appel de Paris a annoncé un procès pour Marine Le Pen avec « une décision avant l’été 2026 ». Pour Étienne Liebig, "ils deviennent les victimes qu'il faut soutenir. C'était pensé depuis le début."
Depuis la condamnation de Marine Le Pen, l'attitude du Premier ministre François Bayrou, interroge. Le chef du gouvernement a évoqué son "trouble" à propos de l'exécution provisoire de l'inéligibilité de celle qui vise la présidentielle 2027. De quoi faire lever des doutes y compris dans son propre camp.
Ce mardi à l'Assemblée nationale, les propos de François Bayrou ont provoqué un vif émoi. Le Premier ministre a exprimé des interrogations sur l'exécution provisoire de l'inéligibilité de Marine Le Pen, sans remettre en cause la condamnation elle-même. Ses déclarations ont semé le trouble, avec des critiques provenant tant des oppositions que de son propre camp. Des membres du bloc macroniste ont dénoncé une atteinte à l'indépendance de la justice, tandis que des élus du MODEM, son propre parti, ont jugé cette prise de position maladroite, voire hors de propos, notamment en ce qui concerne l'idée de remettre en cause la loi ayant conduit à la condamnation de Marine Le Pen.
Le Rassemblement national a annoncé une manifestation de soutien à Marine Le Pen dimanche à Paris. Avant ça, une campagne de tractage va être réalisé à travers le pays, invitant les électeurs à signer la pétition pour "sauver la démocratie" et "soutenir la chef de file RN. Dans les Pyrénées-Orientales, à Perpignan notamment, on s'organise.
La cour d'appel de Paris a annoncé que le jugement dans l'affaire des assistants parlementaires du FN sera rendu à l'été 2026, une décision qui survient après la condamnation de Marine Le Pen pour détournement de fonds publics. Dans une interview accordée au Parisien, Marine Le Pen s'est réjouie de cette annonce, la qualifiant de "très bonne nouvelle" et estimant qu'elle témoigne du "trouble" suscité par le jugement. Elle a également réaffirmé son intention de se battre contre cette condamnation, en dénonçant une "atteinte gravissime à la démocratie". Elle compte utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris la Cour européenne des Droits de l'Homme et le Conseil constitutionnel. En attendant, la mobilisation au sein du Rassemblement National reste forte, et Marine Le Pen s'exprimera lors du rassemblement prévu ce dimanche à Paris pour soutenir sa cause.
Ce dimanche, un meeting de soutien à Marine Le Pen sera organisé à Paris par le Rassemblement National (RN), avec un rassemblement prévu à 15 heures, place Vauban, dans le 7e arrondissement. Un tract a été distribué à travers le pays pour inviter les électeurs à signer une pétition pour "sauver la démocratie" et soutenir Marine Le Pen. Le parti revendique 300 000 signatures pour la pétition en seulement 24 heures, ainsi que 10 000 nouvelles adhésions depuis lundi. Dans les Pyrénées-Orientales, place forte du RN, des militants se préparent à distribuer 20 000 tracts ce week-end, avec une forte mobilisation des jeunes. Carla Muti, responsable de la jeunesse à la fédération départementale, et Valentin, un jeune militant, témoignent de leur engagement pour soutenir Marine Le Pen, avec 20 nouvelles adhésions enregistrées en moins de 24 heures.
La cour d'appel de Paris a annoncé ce mardi que le jugement dans l'affaire des assistants parlementaires du Front National (FN) serait rendu à l'été 2026, après l'appel de la condamnation de Marine Le Pen pour détournement de fonds publics. Cette décision interviendra avant la présidentielle de 2027, et si le verdict lui est favorable, elle pourrait se présenter pour un quatrième mandat. Le procès en appel pourrait débuter au premier trimestre 2026, accélérant ainsi le calendrier judiciaire de cette affaire, notamment à la demande des autorités, y compris du Garde des Sceaux. En attendant, Marine Le Pen reste inéligible, mais nourrit l'espoir de pouvoir se présenter en 2027.
Le projet de rapprochement des entreprises de l'audiovisuel public, Radio France et France Télévisions en tête, a commencé mardi à être examiné en commission à l'Assemblée nationale, au deuxième jour d'une grève pour s'y opposer.
François Bayrou a considéré mardi que "la réflexion doit être conduite" par les parlementaires à propos de l'exécution provisoire, qui "fait que des décisions lourdes et graves ne sont pas susceptibles de recours".
Le député des Alpes-Maritimes sera, par ailleurs, l'invité du Face à Face à 8h30 mercredi sur RMC.
D'après une note de la Direction générale du Trésor, supprimer les ZFE, comme le demandent des députés, pourrait coûter plus de 3 milliards d'euros d'aides européennes à la France.
Ce mardi 1er avril, l'Assemblée a largement approuvé une proposition de loi sénatoriale pour "sortir la France du piège du narcotrafic", un texte clé de la politique de sécurité du gouvernement qui a suscité de vifs débats dans l'hémicycle.
Le blocage temporaire du réseau social TikTok en Nouvelle-Calédonie lors des émeutes meurtrières de 2024 par le gouvernement était "illégal", a jugé mardi le Conseil d'État.
Le Premier ministre s'est dit "favorable" à la régulation de l'installation des médecins face au problème des déserts médicaux en France.
L'inéligibilité de Marine Le Pen, à la suite de sa condamnation, laisse penser que Jordan Bardella se présentera à la présidentielle 2027. "Jordan Bardella n'a jamais eu de métier", rappelle Elise Goldfarb. Elle souligne un de ses points faibles : "En débat, face à Gabriel Attal, il se fait éclater, il est nul !"
Marine Le Pen a été condamnée lundi à cinq ans d'inéligibilité avec exécution immédiate lundi dans l'affaire des assistants parlementaires du FN. Si elle va faire appel, sa candidature à l'élection présidentielle en 2027 semble compromise. Sur RMC, Arthur Chevallier revient sur ces politiques qui ont vu leurs carrières brisée par des affaires judiciaires.
Jordan Bardella devait être à Matignon en cas de victoire de Marine Le Pen. Après la condamnation de la cheffe de file du RN, Bardella serait-il le plan B de Marine Le Pen ? Pour Flora Ghebali, "c'est juste une coquille vide".
Eric Coquerel, député LFI de la Seine-Saint-Denis et président de la commission des finances de l'Assemblée nationale, a réagi à la condamnation de Marine Le Pen dans Apolline Matin.
Marine Le Pen a été condamnée, lundi 31 mars, à 4 ans de prison dont 2 ferme et 5 ans d’inéligibilité avec exclusion provisoire. Pour Frank, auditeur des GG, cette décision est lamentable, "ils peuvent mettre n'importe qui, je voterai pour lui."
Louis Aliot était face à Apolline de Malherbes ce mardi sur RMC au lendemain de sa condamnation et de celle de Marine Le Pen. Un jugement qu'il conteste "sur le fond". Comme l'ex-candidate à la présidentielle, il estime que le verdict de ce procès a été motivé par des raisons politiques.
42% des Français estiment que la justice a été influencée par la volonté d’empêcher Marine Le Pen de se présenter à la prochaine élection présidentielle selon un sondage Elabe pour BFMTV. Un avis que rejoignent de nombreux habitants d'Hénin-Beaumont, fief de Marine Le Pen dans le Pas-de-Calais où elle a été élue députée.
Marine Le Pen, condamnée à une inéligibilité immédiate de cinq ans, ne pourra pas se lancer pour un quatrième mandat présidentiel. Cette décision impacte son fief d'Hénin-Beaumont, où elle est députée depuis 2017, mais elle pourrait conserver son poste de parlementaire. Cependant, la peine la prive de son mandat de conseillère départementale. À Hénin-Beaumont, la population réagit diversement : certains restent fidèles à la leader du RN, d'autres soutiennent Jordan Bardella comme candidat potentiel à la présidentielle, tout en nourrissant l'espoir de voir Marine Le Pen occuper une fonction politique importante, comme celle de Première ministre.
Ce lundi, au sein du Rassemblement National, Marine Le Pen demeurait la seule et unique candidate à la présidentielle de 2027. Il n’était absolument pas question d’évoquer un plan B, comme l’a souligné un député du RN : "le plan A, c’est celui de la démocratie et de Marine Le Pen". Ce message a été largement diffusé, et les parlementaires ont été instruits de ne pas aborder la question du leadership au sein du parti, surtout après les déclarations de Jordan Bardella devant les journalistes. En outre, aucune discussion sur l’hypothèse d'un ticket avec Bardella à l’Élysée et Marine Le Pen à Matignon n'a été autorisée, car cela risquerait de fracturer le RN. "J’espère que Jordan fera honneur à l’héritage", confie un député, soulignant les tensions potentielles qui pourraient découler des événements récents.
Le chemin pour que Marine Le Pen puisse se présenter à la prochaine présidentielle semble semé d’embûches. La première difficulté réside dans le temps de la justice, bien plus lent que celui de la politique. À moins de deux ans du scrutin, il n'est pas garanti que la cour d’appel accepte la demande d’accélération du procès formulée par Marine Le Pen et son avocat. De plus, des procès en appel, comme celui de François Bayrou et du MoDem, encombrent déjà les tribunaux, sans que la date d’un nouveau procès ne soit encore fixée plus d’un an après la fin de l’affaire. Même si le calendrier s’accélérait, Marine Le Pen aurait besoin de juges plus cléments pour être autorisée à se présenter à la présidentielle. Un autre recours rapide serait possible devant le Conseil constitutionnel, mais certains spécialistes estiment qu’il serait nécessaire que les juges déclarent l’inconstitutionnalité de l'exécution provisoire des peines pour les élus. Un scénario jugé hautement improbable par ces experts, qui comparent cette hypothèse à croire au "Père Noël".
Dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires européens du Front National, Marine Le Pen n’est pas la seule à avoir été condamnée. Vingt-trois autres personnes, ainsi que le parti, ont également été jugés. Parmi eux, Louis Aliot, vice-président du Rassemblement National et maire de Perpignan, a écopé de 18 mois de prison, dont six mois ferme avec bracelet électronique, ainsi que d’une amende de 8.000 euros et d’une inéligibilité de trois ans. Toutefois, cette peine d’inéligibilité ne s’applique pas immédiatement, ce qui signifie qu’il peut faire appel et conserver la mairie de Perpignan. À Perpignan, la condamnation de Marine Le Pen à une inéligibilité immédiate de cinq ans a choqué une partie de la population. Sur les terrasses des cafés, certains commerçants, comme Régis, expriment leur mécontentement envers la Justice, tandis que d’autres, comme Jérémy, un sympathisant RN, estiment qu’il s’agit d’un acharnement. Pour Agnès Langevine, vice-présidente du conseil régional Occitanie et candidate aux prochaines municipales, ce jugement pourrait au contraire renforcer le Rassemblement National, ce qu’elle redoute.
Marine Le Pen a décidé de faire appel de sa condamnation à quatre ans de prison, dont deux ans fermes aménagés sous bracelet électronique, ainsi qu’une amende de 100.000 euros. Toutefois, son appel ne change en rien la peine d'inéligibilité de cinq ans prononcée par le tribunal correctionnel de Paris, cette peine ayant été assortie d'une exécution provisoire, ce qui signifie qu'elle reste immédiatement applicable. Actuellement hors-jeu pour les élections, Marine Le Pen devra attendre l’issue de son appel pour espérer une réduction de sa peine. En cas de décision favorable, elle pourrait théoriquement se présenter à la présidentielle de 2027, mais cela nécessiterait que le procès en appel soit conclu bien avant le scrutin. Or, pour ce type de procédure, les délais sont souvent longs, pouvant aller de 18 à 24 mois avant l’audience. À titre de comparaison, dans l’affaire similaire concernant François Bayrou et le MoDem, 14 mois après le jugement, la date du procès en appel n’est toujours pas fixée.
Marine Le Pen a vivement dénoncé ce lundi une "décision politique" après sa condamnation à une inéligibilité immédiate de cinq ans, une peine de prison de quatre ans dont deux fermes aménagés sous bracelet électronique, ainsi qu’une amende de 100 000 euros. Elle a été reconnue coupable de détournement de fonds publics dans le cadre du procès des assistants parlementaires européens du Front National. La présidente du Rassemblement National a annoncé son intention de faire appel, mais l'exécution immédiate de la peine d'inéligibilité reste applicable. Le président du RN, Jordan Bardella, a appelé à une "mobilisation populaire et pacifique" et lancé une pétition sur le site du parti pour soutenir Marine Le Pen. Un sondage ELABE pour BFMTV révèle que 57 % des Français jugent cette décision de justice normale, tandis que 42 % estiment qu’elle est influencée par une volonté politique d’empêcher Marine Le Pen de se présenter à la prochaine présidentielle. Concernant la règle de l'exécution provisoire, deux Français sur trois (68 %) la considèrent juste en cas de condamnation pour détournement de fonds publics. Le sondage indique aussi que 42 % des Français se disent satisfaits de la condamnation, 29 % mécontents et 29 % indifférents. À l’international, plusieurs soutiens ont émergé, notamment du Kremlin, qui a dénoncé une "violation des normes démocratiques", de l’administration Trump, qui a exprimé ses préoccupations concernant l’exclusion des candidats de la vie politique, ainsi que du Premier ministre hongrois Viktor Orban et de l'entrepreneur Elon Musk, qui ont critiqué la décision.
Après sa condamnation pour détournement de fonds publics lundi, Marine Le Pen était présente sur le plateau du 20h de TF1. L'ex candidate à la présidentielle a fait part de sa colère après ce jugement et a annoncé qu'elle allait faire appel.
Le Premier ministre a exprimé son "trouble" face à la décision de justice concernant l'inéligibilité de Marine Le Pen, une décision qui secoue profondément la politique française. Jean-Luc Mélenchon a réagi en soulignant que seule la volonté du peuple devrait décider du sort d'un élu, Laurent Wauquiez a qualifié la mesure de "très lourde et exceptionnelle", affirmant qu'il n'est pas sain, dans une démocratie, qu'un élu soit interdit de se présenter. Romain Cluzel ajoute que cette décision semence le trouble au sein de la classe politique. La question de l'exécution provisoire de la peine divise, notamment entre le député macroniste Pieyre-Alexandre Anglade et son collègue Matthieu Lefèvre. À gauche, des figures comme Eric Coquerel expriment leurs réserves sur l'inéligibilité sans possibilité de recours, François Ruffin reconnaît que, bien que préférant un affrontement aux urnes, il estime que Marine Le Pen ne peut s'en prendre qu'à elle-même.