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Affaire Amra: faut-il des sanctions? "Quand on est dans une administration, personne n'est propriétaire d'un dossier"

Affaire Amra: faut-il des sanctions? "Quand on est dans une administration, personne n'est propriétaire d'un dossier"

Un "déficit" de communication entre les différentes autorités judiciaires, pénitentiaires et les enquêteurs est pointé du doigt dans un rapport de l'Inspection générale de la justice (IGJ) consacré à l'évasion sanglante mi-mai de Mohamed Amra au cours d'un transfert pénitentiaire. Le multirécidiviste, impliqué dans des trafics de stupéfiants, est toujours recherché par la police, en France et à l'étranger. Deux agents de l'administration pénitentiaire avaient été tués et trois autres blessés, dont deux grièvement, lors de l'attaque ultra-violente de leur fourgon le 14 mai au péage d'Incarville (Eure). "La première leçon a tiré, c'est que personne n'a enfermé ses dossiers à clés ou n'a donné l'information aux autres." "Je ne comprend pas comment on peut faire de la rétention d'informations sur des dossiers aussi importants." Zohra Bitan

Barbara Butch répond aux "rageux": "Ce n'est pas de sa faute", pour Emmanuel de Villiers

Barbara Butch répond aux "rageux": "Ce n'est pas de sa faute", pour Emmanuel de Villiers

Barbara Butch appelle à "ne pas normaliser la haine en ligne". Hier, la DJ française témoignait sur BFMTV, après l'ouverture mardi d'une enquête à la suite de sa plainte notamment pour cyberharcèlement aggravé et menaces de mort. Elle dit recevoir des torrents de haine depuis sa participation à un tableau de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris. Elle a performé lors du tableau intitulé "Festivité", commençant par l'image d'un groupe attablé, dont plusieurs drag Queens célèbres (Nicky Doll, Paloma et Piche reconnaissable à sa barbe blonde), que certains ont interprété comme une parodie moqueuse du dernier repas de Jésus avec ses apôtres, la Cène, telle que représentée par Léonard de Vinci.  "Les attaques personnelles sont inadmissibles. Elle s'est juste mise au service d'une création artistique, ce n'est pas de sa faute", pour Emmanuel de Villiers. "C'est l'organisation qu'il faut mettre en cause et l'état qui a validé".