
Interdiction de travailler 1er Mai: "Si la boulangerie était reconnue comme métier essentiel, le problème serait réglé"
C'est interdit, mais de nombreux boulangers veulent faire travailler leurs salariés le 1er mai. Pourtant, ils risquent une amende de 750 euros par employé même si ce dernier est volontaire, et la sanction peut grimper jusqu'à 1500 euros pour un apprenti de moins de 18 ans. Pour Dominique Anract, président de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie, la boulangerie doit être reconnue en tant que métier essentiel.