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Police-Justice

Un chauffeur de bus a été violemment agressé dans mercredi près du Vésinet dans les Yvelines. Deux jeunes ont été interpellés dans la foulée. Pour Samir, ancien chauffeur à la RATP, ces violences sont malheureusement quotidiennes et rien n'est fait pour dissuader les auteurs derrière.

Viols de Mazan : Gisèle Pélicot n'a "jamais" donné son consentement

Viols de Mazan : Gisèle Pélicot n'a "jamais" donné son consentement

Gisèle Pelicot, victime de soumission chimique, témoigne lors du procès en appel des viols de Mazan. Elle affirme n'avoir jamais rencontré le seul accusé ayant fait appel pour donner son consentement. Ce témoignage poignant met en lumière les défis des victimes face à leurs agresseurs présumés. Le procès continue avec une détermination renouvelée de la part de Gisèle Pelicot, soulignant l'importance de la justice dans de tels cas. 

Procès de Cédric Jubillar : un ex-codétenu de Cédric Jubillar à la barre

Procès de Cédric Jubillar : un ex-codétenu de Cédric Jubillar à la barre

La mère de Cédric Jubillar a exprimé hier ses doutes sur la culpabilité de son fils. Le peintre-plaquiste de 38 ans est jugé jusqu'au 17 octobre pour le meurtre de sa femme Delphine, dont le corps reste introuvable depuis fin 2020. Entendue par la cour d'assises du Tarn, Nadine Jubillar a regretté de "ne pas avoir pris plus au sérieux" les menaces de mort que son fils avait proférées à l'encontre de Delphine avant la disparition de l'infirmière. Un ex-codétenu de Cédric Jubillar est venu expliquer à la barre et indique que l’accusé lui avait dit s'être "débarrassé" de Delphine ce que dément Cédric Jubillar.

Cédric Jubillar est présent à la cour d'assises du Tarn, le 22 septembre 2025. Il est soupçonné du meurtre de sa femme Delphine Jubillar, disparue en décembre 2020.

"Je suis le premier embêté par cette histoire": l'improbable erreur d'un gendarme secoue le procès Jubillar

C'est la troisième semaine au procès de Cédric Jubillar à Albi, jugé pour le meurtre de son épouse il y a cinq ans. Et les débats tournent depuis deux jours autour du téléphone de l'amant de Delphine Jubillar. La défense assurait que le téléphone de l'amant avait "borné" près de la maison du couple la nuit de la disparition, sans que cela ne soit pris en compte durant l'enquête. C'était en fait une erreur a assuré le gendarme en charge de cette partie des investigations.

Procès en appel des viols de Mazan : Dominique Pelicot enfonce l'accusé

Procès en appel des viols de Mazan : Dominique Pelicot enfonce l'accusé

Une confrontation particulièrement attendue s’est déroulée hier lors du procès en appel des viols de Mazan. Dominique Pélicot a été sorti de l'isolement de sa prison pour témoigner. En première instance, il avait été condamné à 20 ans de prison. Reconnu coupable d'avoir drogué pendant près de 10 ans Gisèle Pelicot avant de la violer et de la faire violer par des dizaines d'inconnus recrutés sur internet. Le "chef d'orchestre" de ce dossier a été entendu par la cour d'assises, non pas comme accusé, mais comme témoin alors qu’un seul des 51 condamnés en première instance a fait appel. Gisèle Pélicot est bien présente et attend le verdict qui sera rendu demain.

Procès de Cédric Jubillar : une erreur de "copier/coller"

Procès de Cédric Jubillar : une erreur de "copier/coller"

Procès de Cédric Jubillar : depuis deux jours, les débats sont dirigés vers la falsification d'un PV par les gendarmes sur la potentielle présence de l'amant à proximité du domicile. Un gendarme est venu plaider "une erreur" hier,  le major de gendarmerie chargé de la téléphonie a reconnu s'être trompé. « A aucun moment », l'amant de Delphine Jubillar ne s'est retrouvé "sous les relais de Cagnac-les-Mines", affirme le gendarme. « Une erreur dans les copier-coller, qui a fait que l’amant a figuré dans cette liste alors qu’il n’aurait pas dû y être ». Les avocats de la défense dénoncent l'amateurisme des enquêteurs.

Meaux : une balle perdue frôle la tête d'une fillette

Meaux : une balle perdue frôle la tête d'une fillette

A Meaux, la stupeur peine à se dissiper dans un quartier pavillonnaire de la ville visé par des tirs à la Kalachnikov dans la nuit de samedi à dimanche. 28 douilles ont été retrouvées sur place. Les premiers éléments de l’enquête orientent vers un règlement de compte visant une maison mais des balles ont aussi traversé le logement mitoyen réveillant une famille pendant son sommeil. Un drame évité de peu, l’une des balles a en effet frôlé la tête d'un enfant présent dans cette maison. La mère de famille témoigne au micro de RMC.