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Politique

Accord commercial UE-Mercosur validé par la Commission européenne : "Un affront pour la profession agricole". Hervé Lapie, secrétaire général de la FNSA au micro de RMC. La FNSEA, le principal syndicat agricole, dénonce un accord toujours "toxique". La Commission européenne assure que des "clauses de sauvegarde" ont été renforcées, afin d'intervenir si certaines filières se retrouvent pénalisées par l'application de l'accord.

"Le macronisme, c'est le socialisme en pire", dénonce Jordan Bardella

"Le macronisme, c'est le socialisme en pire", dénonce Jordan Bardella

Semaine spéciale "La France en crise" : les GG reçoivent, Jordan Bardella, président du Rassemblement national.  Ce mercredi, Charles Consigny, Flora Ghebali et Abel Boyi sont les GG du jour. Au programme : François Bayrou s'obstine, attaque au couteau à Marseille et on continue la semaine spéciale "La France en crise" avec Jordan Bardella, président du Rassemblement national. Les Grandes Gueules, c'est trois heures de débats où toutes les opinions sont les bienvenues, où les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile, mêlent information et divertissement. Les Grandes gueules, le show de la liberté d'expression.

François Bayrou : "Il s'y est pris comme un manche", selon Charles Consigny

François Bayrou : "Il s'y est pris comme un manche", selon Charles Consigny

Bayrou s’obstine… On n’en peut plus ? Pour Charles Consigny : "Il s'y est pris comme un manche. On a même un problème de caractère du Premier ministre. Je trouve insensé que personne à Matignon, n'ait rédigé une réponse à la lettre de Marine Le Pen." Ce mercredi, Charles Consigny, Flora Ghebali et Abel Boyi sont les GG du jour. Au programme : François Bayrou s'obstine, attaque au couteau à Marseille et on continue la semaine spéciale "La France en crise" avec Jordan Bardella, président du Rassemblement national. Les Grandes Gueules, c'est trois heures de débats où toutes les opinions sont les bienvenues, où les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile, mêlent information et divertissement. Les Grandes gueules, le show de la liberté d'expression.

Nicolas Sarkozy, la dissolution est "la seule solution"

Nicolas Sarkozy, la dissolution est "la seule solution"

Dans une interview au Figaro publiée hier après-midi, Nicolas Sarkozy critique très clairement le choix de François Bayrou de se soumettre au vote de confiance de l'Assemblée lundi, "un suicide politique" selon lui.  Critique aussi de la position de Bruno Retailleau, qui appelle à voter la confiance. "Le risque de confusion me paraît sérieux" estime l'ancien chef de l'Etat. Il considère que des élections législatives vont bientôt avoir lieu.

Successeur de François Bayrou : "Je pense qu'il faut remettre Jean Castex", soumet Juliette Briens

Successeur de François Bayrou : "Je pense qu'il faut remettre Jean Castex", soumet Juliette Briens

Qui pour remplacer François Bayrou ? "Je pense qu'il faut remettre Jean Castex ! Il a gardé une certaine sympathie, on le croise dans le métro, il a refusé certains privilèges d'anciens Premiers ministres", défend Juliette Briens. Ce mardi, Juliette Briens, Jérôme Lavrilleux et Emmanuel Dancourt sont autour de la table. Au programme : faut-il craindre le chaos lors de la mobilisation du 10 septembre, qui pour succéder à François Bayrou à Matignon et avoir une relation amoureuse au travail, est-ce l’enfer ou le paradis. Estelle Midi, c'est le déjeuner convivial qui n’élude aucun sujet entre 12h et 15h. Estelle Denis et Charles Magnien, accompagnés des chroniqueurs, vous donnent rendez-vous pour débattre, témoigner et rire.

Mobilisation du 10 septembre : "Ce sera une manif d'extrême gauche comme tous les mois", ironise Juliette Briens

Mobilisation du 10 septembre : "Ce sera une manif d'extrême gauche comme tous les mois", ironise Juliette Briens

Grèves, violences : faut-il craindre le chaos du 10 septembre ? "Ce sera une manif d'extrême gauche comme tous les mois... Les black blocs débarqueront de toute l'Europe... c'est un mercredi en France", explique Juliette Briens, fataliste.  Ce mardi, Juliette Briens, Jérôme Lavrilleux et Emmanuel Dancourt sont autour de la table. Au programme : faut-il craindre le chaos lors de la mobilisation du 10 septembre, qui pour succéder à François Bayrou à Matignon et avoir une relation amoureuse au travail, est-ce l’enfer ou le paradis. Estelle Midi, c'est le déjeuner convivial qui n’élude aucun sujet entre 12h et 15h. Estelle Denis et Charles Magnien, accompagnés des chroniqueurs, vous donnent rendez-vous pour débattre, témoigner et rire.

Le parti "Les Républicains" divisé pour le vote de confiance sur la politique de François Bayrou

Le parti "Les Républicains" divisé pour le vote de confiance sur la politique de François Bayrou

À une semaine du vote de confiance des députés à l'Assemblée nationale, le parti "Les Républicains" n'applique pas de consigne unique quant au soutien ou pas de François Bayrou et alors même que Les Républicains font partie du gouvernement. Si Bruno Retailleau, patron du parti et ministre de l'Intérieur, estime qu'il faut soutenir le gouvernement, le président de l'Association des maires de France David Lisnard, explique de son côté qu'il ne faut pas voter la confiance au Premier ministre.

Le Rassemblement national se prépare à des élections législatives anticipées

Le Rassemblement national se prépare à des élections législatives anticipées

Le Rassemblement national a réuni lundi 1er septembre son bureau de campagne des élections législatives au siège du parti. Un rendez-vous loin d'être anodin alors que le gouvernement de François Bayrou pourrait être renversé, laissant entrevoir une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale. Le président du Rassemblement national en appelle à un retour aux urnes. Une démission du chef de l’état, même s’il se dit respectueux des institutions, ou une nouvelle dissolution. Le président du Rassemblement national souhaite par ailleurs toujours accéder à Matignon si le résultat des urnes lui accordait une majorité suffisante.