
Agriculteurs, ouvriers, femmes... Comment la France qui travaille a évolué depuis 40 ans
Avec son "portrait des professions", l’Insee montre l’évolution de la France qui travaille depuis 40 ans.
Avec son "portrait des professions", l’Insee montre l’évolution de la France qui travaille depuis 40 ans.
Le mois de mai va rimer avec vacances pour beaucoup de salariés français qui vont pouvoir profiter des différents jours fériés pour se faire des ponts très longs. C'est particulièrement avantageux cette année, mais pas évident à gérer pour les entreprises.
Vendu traditionnellement chaque 1er mai, le muguet rencontre de moins de moins d'adeptes.
Le défi de la "désmicardisation" de la France a été lancé par Gabriel Attal. Et de premières pistes commencent à se dessiner.
Le premier promoteur français Nexity vient d'annoncer 502 suppressions de postes, dans le cadre d'un plan social, pour tenter de faire 50 millions d'euros d'économie. Des suppressions de postes qui vont toucher le pôle promotion-construction du groupe.
ENQUETE RMC. Les contrôleurs aériens et les cheminots ont donné des idées avant les Jeux olympiques, dont l'approche tourne au bras de fer, dans les transports notamment. De nouveaux secteurs (dockers, conducteurs RATP, éboueurs) se disent, à leur tour, qu'ils pourraient obtenir des primes ou des accords sur les fins de carrière comme à la SNCF en début de semaine.
RMC s’engage auprès de Christophe, ancien gendarme. Alors qu’il souhaite se reconvertir dans un métier de la sécurité, Pôle Emploi (devenu France Travail) lui conseille de s’inscrire à une formation payante, sauf qu’il n’en a pas besoin. Et il souhaite aujourd’hui récupérer son argent.
De 1.300 à 3.200 emplois sont menacés chez Casino. Le groupe, surendetté, est en pleine réorganisation. Au siège historique, à Saint-Etienne, ce sont 550 salariés qui vont se retrouver sur le carreau.
Cette année, les entreprises comptent moins recruter, dans la plupart des secteurs.
Entre 1.293 et 3.267 postes pourraient être supprimés au sein du groupe Casino, en fonction du nombre de magasins grand format et d'entrepôts logistiques non encore cédés qui trouveront preneurs d'ici septembre, a annoncé le distributeur mercredi, précisant qu'un millier d'emplois seront préservés au siège de Saint-Etienne.
Bruno Le Maire va présenter son plan pour en finir avec la paperasse inutile. Cela représente jusqu'à 8h de travail par semaine pour un patron selon le ministre de l'Economie, qui propose notamment de supprimer, progressivement, les formulaires Cerfa. Objectif, pouvoir complètement s'en passer d'ici à 2030.
L'entreprise Duralex a demandé son placement en redressement judiciaire. Le tribunal de commerce d'Orléans doit se réunir ce mercredi à 16h à ce sujet. Sur place, les salariés se disent très inquiets.
Faute d'accord entre patronat et syndicats, l'exécutif reprend en main le dossier de l'assurance-chômage, qui doit réglé avant fin juin. Le gouvernement de Gabriel Attal n'a pas encore acté les nouvelles règles, mais une chose est sûre: elles seront durcies.
Un plan de "cessation anticipée d'activité" a été signé, fait rare, par la totalité des syndicats SNCF ce lundi. Les nouvelles conditions de départ à la retraite anticipée font que les deux ans de travail en plus de la réforme des retraites semblent quasi caducs à la SNCF.
En 2023, selon France Travail, un tiers des chômeurs contrôlés n’étaient pas en recherche active d’emploi.
La secrétaire nationale de la CFDT Isabelle Mercier s'est félicité ce samedi sur RMC de l'accord trouvé entre syndicats et l'Union des entreprises de proximité sur le compte épargne temps universel (Cetu). L'accord doit être finalisé mardi prochain et l'objectif est qu'il soit repris dans un projet de loi du gouvernelment. Propre au salarié et non pas à l'entreprise, le Cetu pourra entre autres permettre d'aménager la fin de carrière et un départ à la retraite anticipé.
Le groupe de pneumatiques Michelin a annoncé mercredi à Clermont-Ferrand la mise en place d'un salaire "décent" pour ses 132.000 salariés dans le monde. Pour Erwan Tison, économiste et directeur des études de l'Institut Sapiens interrogé par RMC, la "décence n'existe pas d'un point de vue "économique". Il affirme cependant que les Français "s'appauvrissent depuis plus de 20 ans".
La Caisse nationale de l'assurance vieillesse dévoile pour la première fois les chiffres de la fraude aux pensions de retraite. Et ces données sont surprenantes.
Alors que Carlos Tavares le patron de Stellantis devrait toucher 36,5 millions d'euros pour l'année 2023, La France insoumise veut limiter la rémunération des chefs d'entreprise en instaurant un rapport de 1 à 20 entre les plus gros salaires d'une même entité.
200.000 postes sont toujours à pourvoir dans le secteur de l'hôtellerie-restauration pour cet été, selon le président du syndicat patronal de l’Umih Thierry Marx. Le restaurateur Stéphane Manigold dénonce sur RMC des mauvaises conditions mais aussi des patrons qui sont devenus l'esclave de leurs salariés.
Le gouvernement veut "lever le tabou" du licenciement des fonctionnaires. C'est l'annonce faite par le ministre de la Fonction publique, Stanislas Guérini, dans une interview au Parisien. Un projet de loi sera présenté à l'automne prochain et il devrait donc faciliter les sanctions envers les fonctionnaires qui "ne font pas leur travail" dit le ministre.
Invité de RMC ce mercredi, le président du Medef Patrick Martin appelle l'Etat à réduire son train de vie en coupant notamment dans l'administration pour supprimer des postes de la fonction publique.
L'absentéisme au travail est en baisse notamment grâce au télétravail qui pousse de nombreux salariés à éviter de courts arrêts-maladie. Mais le vice-président de l'association nationale des DRH ne voit pas ça forcément d'un bon œil.
Les agents de La Poste sont en grève ce mardi 2 avril, estimant que les conditions de travail se dégradent malgré de bons résultats économiques du groupe dans sa globalité.
Le débat sur les horaires d’ouverture des commerces, bars et restaurants en Espagne est relancé, après que le gouvernement espagnol les ait jugés "déraisonnables". Une prise de position qui ne fait pas l'unanimité et qui provoque une levée de boucliers chez les professionnels.
Pour faire des économies, le gouvernement envisage d'augmenter le nombre de jours de carence pour les salariés malades. L'exécutif l'assure, les entreprises et les mutuelles prendraient en charge ce jour non remboursé. Mais le patronat ne l'entend pas de cette oreille.