
La loi immigration a été promulguée par Emmanuel Macron
La loi immigration a été promulgée par Emmanuel Macron, selon le Journal officiel de samedi.
La loi immigration a été promulgée par Emmanuel Macron, selon le Journal officiel de samedi.
Le Premier ministre Gabriel Attal a dévoilé ce vendredi ses annonces pour répondre à la colère des agriculteurs, depuis Montastruc-de-Salies (Haute-Garonne). Fin de la hausse de la taxe sur le gazole non routier, 50 millions d'euros pour la filière bio, simplification des normes, respect de la loi Egalim... Voici ce qu'il faut retenir.
Un bâtiment de la Mutualité sociale a été totalement incendié lors d'une manifestation d'agriculteurs à Narbonne. Le bâtiment avait été vidé par crainte de dégâts.
En augmentant de 300 euros l’avance de frais de mandat des députés, le bureau de l’Assemblée nationale a déclenché une polémique.
Les agriculteurs de l'Hérault sont mobilisés ce vendredi et manifestent devant la préfecture à Montpellier.
EXCLU RMC. Le président des Républicains Eric Ciotti ne cache pas sa "colère" au lendemain de la censure par le Conseil constitutionnel de nombreux articles de la loi immigration. Il dénonce dans "Apolline Matin" un "hold-up démocratique".
EXCLU RMC. Véronique Le Floc’h, présidente de la Coordination rurale, annonce que son syndicat envisage de bloquer le marché international de Rungis.
Gabriel Attal est attendu en Haute-Garonne, ce vendredi après-midi, pour annoncer de premières mesures pour calmer la colère des agriculteurs. Notamment sur le gazole non routier.
Si la venue du Premier ministre en Haute-Garonne a satisfait Jérôme Bayle, vendredi, les syndicats ont appelé à prolonger le mouvement de contestation. Toutefois sur RMC, le secrétaire général des JA annonce une suspension des blocages samedi vers midi. Un blocus de Paris serait même en prévision, d'après l'administrateur national des Jeunes agriculteurs, des propos tempérés par Pierrick Horel.
Syndicats et associations opposés au projet de loi immigration ont salué jeudi comme une "victoire", pour Amnesty International, la censure partielle du texte par le Conseil constitutionnel, tout en affirmant leur vigilance pour empêcher certaines dispositions de revenir plus tard.
Le Conseil constitutionnel a censuré très largement jeudi la loi immigration, décision très contestée à droite mais satisfaisante pour le gouvernement qui s'apprête à promulguer le texte "dans les prochaines heures" pour appliquer les premières mesures "dès ce weekend".
Les "Sages" du Conseil constitutionnel ont censuré très largement la loi immigration, dont de nombreuses mesures de durcissement adoptées en décembre sous la pression de la droite, un développement majeur dans ce feuilleton qui a fait tanguer la majorité. Mais que reste-t-il du texte ?
À Boé, une petite ville près d’Agen, des agriculteurs ont pris pour cible un magasin Leclerc en déversant du lisier sur la façade, ce jeudi 25 janvier, vers midi. Deux caissières et une femme de ménage ont fait part de leur mécontentement au micro de RMC.
Après la censure par le Conseil constitutionnel de 35 articles de la loi immigration, la gauche s'est réjoui, y voyant un camouflet pour la majorité, tandis que la droite et l'extrême droite ont fustigé la décision des Sages, réclamant de nouveau un référendum. Tour d'horizon des réactions politiques.
Le Conseil constitutionnel a censuré ce jeudi 32 articles et trois autres partiellement du projet de loi immigration du gouvernement. Le texte, décrié par l'opposition, avait été adopté en commission mixte paritaire le 19 décembre dernier, avec des voix de LR et du RN.
Accusé de "collusion" avec Emmanuel Macron par Eric Ciotti après la censure de nombreuses mesures de la loi immigration, le président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius défend ce vendredi "une décision juridique". La veille, les Sages ont censuré plus du tiers des articles de la loi immigration, notamment des mesures de fermeté rajoutées par la droite.
Deux syndicats agricoles ont mis leurs menaces à exécution: ils appellent au "blocus" de la capitale pour le vendredi 26 janvier.
Le Premier ministre Gabriel Attal doit faire des "propositions concrètes" aux agriculteurs en colère ce vendredi à l'occasion d'un déplacement.
DOCUMENT RMC. Près d'Agen (Lot-et-Garonne), les agriculteurs ont répandu du lisier sur la façade d'un supermarché Leclerc, ce jeudi. Sous le poids, un sous-plafond s'est effondré.
La FNSEA et les Jeunes agriculteurs ont donné le ton ce mercredi soir, en faisant une liste de 24 revendications. Ils attendent désormais de pied ferme les annonces du gouvernement, en prévenant: ce sera tout ou rien.
Le Rassemblement national n'est finalement plus favorable à l'augmentation de 300 euros des frais de mandat des députés, pourtant approuvée la veille par le parti. Le RN demande à l'Assemblée nationale un report de la mesure.
Sur RMC-BFMTV, le député de La France insoumise François Ruffin appelle le gouvernement à protéger les agriculteurs en mettant en place des prix planchers. L'élu estime cependant que le monde agricole ne doit pas délaisser l'écologie et espère que le mouvement reste non-violent pour ne pas "desservir la cause".
La France n'est pas le seul pays européen à voir ses agriculteurs manifester. Plusieurs états membres dénoncent notamment les importations de produits ukrainiens qui se sont accélérées depuis le début de la guerre.
A Carbonne (Haute-Garonne), sur le blocage de l'A64, les agriculteurs attendent impatiemment la venue de Gabriel Attal, en agitant la menace d’une invitation de Jordan Bardella.
Le Conseil constitutionnel va trancher ce jeudi sur la loi immigration. Les Sages ont épluché le texte et diront s'ils valident toutes les mesures ou s'ils décident d'en censurer, comme le durcissement de l'accès aux prestations sociales pour les étrangers.
Le Premier ministre Gabriel Attal est attendu avec de premières mesures ce vendredi, après une semaine d'un mouvement de colère des agriculteurs qui devient de plus en plus radical contre les symboles de l'Etat et les grandes surfaces.
Les syndicats agricoles a réclamé mercredi soir des aides "immédiates" pour les agriculteurs et un allègement des contraintes environnementales, dans une liste détaillée de demandes adressée au gouvernement en pleine mobilisation de la profession dans toute la France.
Le bureau de l’Assemblée nationale a décidé d’augmenter le montant mensuel de l’avance de frais de mandat des députés, de 5,4 %.
"Nous prendrons le temps qu'il faut" pour inscrire l'IVG dans la Constitution, a promis mercredi 24 janvier à l'Assemblée le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, pour "rassurer" les parlementaires, notamment les sénateurs, échaudés par le calendrier prévu qui supposerait un passage sans modification du texte au Sénat.
Des rassemblements sont prévus jeudi 25 janvier, jour où le conseil constitutionnel doit rendre une décision très attendue sur le controversé projet de loi immigration.
À Agen, la préfecture a été prise pour cible en fin d'après-midi par des agriculteurs.
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin se rendra "début février" en Corse pour "faire un point d'étape" concernant les discussions sur l'évolution du statut de l'île vers une "autonomie dans la République", a indiqué mercredi le Premier ministre Gabriel Attal.
Le gouvernement assure avoir "entendu" l'appel des agriculteurs et proment des annonces "dans les jours à venir".
Le sénateur EELV Yannick Jadot estime que le gouvernement traite de manière différente les actions de blocage récentes des agriculteurs par rapport à celles des écologistes.
La mobilisation des agriculteurs se poursuit. De nombreux blocages sont en place encore ce mercredi. Des agriculteurs qui attendent des réponses du gouvernement sur leurs principales revendications.
Alors que les actions des agriculteurs se multiplient dans le pays, le gouvernement tarde à apporter des réponses. Mardi, à l'Assemblée nationale, le Premier ministre Gabriel Attal ainsi que les membres de son gouvernement ont été ciblés par les oppositions qui demandent des réponses concrètes.
Les agriculteurs continuent d'exprimer leur colère ce mercredi partout en France, avec de nouveaux blocages, notamment à Bordeaux et à Strasbourg. Une éleveuse et sa fille ont été tuées ce mardi en Ariège, percutées par une voiture sur un barrage.
Le président du Sénat Gérard Larcher (LR) s'est dit, mardi 23 janvier 2024, opposé à l'inscription de l'IVG dans la Constitution, promesse d'Emmanuel Macron qui sera débattue à l'Assemblée mercredi avant d'être examinée ensuite par le Sénat.
Les occupants du véhicule qui a fauché une famille d’agriculteurs sur un barrage en Ariège étaient des arméniens visés par une OQTF.
Thierry Coste, lobbyiste des chasseurs depuis de nombreuses années, a confirmé ce mardi 23 janvier avoir pris ses distances avec la liste "Alliance rurale" qui se présente aux élections européennes sous l'impulsion de Willy Schraen de la Fédération nationale des chasseurs. Il ne comprend le mutisme du mouvement concernant la colère des agriculteurs.
Le président de la FNSEA a annoncé ce mardi 23 janvier sur RMC que les blocages des agriculteurs se poursuivront "le temps qu'il faudra" en attendant des réponses "concrètes" à leurs demandes. En attendant, d'autres secteurs comptent en profiter pour mutualiser les colères.
Les blocages d'agriculteurs se poursuivent sur l'A64, mais aussi sur l'A62 depuis lundi au niveau d'Agen et l'A7 dans la Drôme ce mardi. Le Premier ministre Gabriel Attal a d'ailleurs promis d'aller à la rencontre des agriculteurs, sur le terrain. Et il y est attendu de pied ferme.
Le patron de la FNSEA Arnaud Rousseau est revenu ce mardi 23 janvier sur RMC sur la colère du monde agricole et ce que réclament les agriculteurs.
La réunion de lundi soir à Matignon a duré plus longtemps que prévu. Les représentants des agriculteurs dont le patron du premier syndicat, la FNSEA, ont exposé leur constat devant le nouveau Premier ministre Gabriel Attal, qui n'a pas fait d'annonce. Même si l'idée, face à cette colère agricole, c'est d'aller vite.
Routes bloquées, appels médiatiques, bientôt des bâchages de radars: soutenus par une large part de la classe politique, les agriculteurs français ne désarment pas pour obtenir des "mesures concrètes" du gouvernement de Gabriel Attal qui a accueilli les syndicats majoritaires lundi soir pendant un peu plus de deux heures, sans annonces à la sortie.
Gabriel Attal prépare en lieu et place de sa déclaration de politique générale "un programme de souffrance générale", a estimé lundi le coordinateur de la France insoumise, Manuel Bompard, à l'issue d'un entretien avec le Premier ministre.
Lors d’une conférence de presse, le ministre de l’Intérieur a assuré qu’il n’était pas prévu “d’évacuations par les forces de l’ordre” des agriculteurs manifestant sur l’A64.
Le ministre de l'Agriculture Marc Fesneau a annoncé ce lundi 22 janvier qu'il compte accélérer le développement de retenues d'eau, appelées "bassines" par leurs détracteurs. 20 millions d'euros sont sur la table pour améliorer le stockage et l'irrigation.
Le texte sur la loi immigration, qui a été voté en décembre après un accord entre le gouvernement et les Républicains, n'est pas encore promulgué dans l'attente de la décision du Conseil constitutionnel ce jeudi. Des manifestations ont eu lieu ce dimanche dans plusieurs villes.
Le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a estimé ce lundi 22 janvier sur RMC-BFMTV que le gouvernement ne récolte que ce qu'il sème concernant la colère des agriculteurs.