
Quel dispositif de sécurité pour le réveillon du Nouvel An 2023?
90.000 policiers et gendarmes seront mobilisés dans toute la France pour le réveillon de la Saint-Sylvestre, dont 9.000 dans Paris.
90.000 policiers et gendarmes seront mobilisés dans toute la France pour le réveillon de la Saint-Sylvestre, dont 9.000 dans Paris.
Une factrice de 33 ans et son compagnon ont été mis en examen et placés en détention provisoire, en Haute-Savoie, dans le cadre d'une affaire pour vol de chéquiers et de cartes bancaires dans des boîtes aux lettres.
Un homme s'est présenté pour un abcès à l'hôpital de Rangueuil, au sud de Toulouse, mardi matin. Après un examen des médecins, ils découvrent une balle, logée dans son dos. Le blessé dit qu'il l'a depuis trois ans mais n'a jamais voulu être soigné. L'hôpital décide d'appeler la police, mais quand les agents arrivent, l'homme est déjà parti.
INFO RMC. Un homme de 22 ans a été tué jeudi à Sarcelles. L'hypothèse d'un réglement de comptes n'est pas écartée.
Un couple vivant en Bretagne a découvert un impact de balle sur le mur de sa maison, à 30 centimètres seulement d'une fenêtre. Selon les premiers éléments, la balle aurait pu être tirée lors d'une battue aux sangliers. Une enquête a été ouverte.
Le curé de la paroisse d'Ammerschwihr, près de Colmar dans le Haut-Rhin, a été cambriolé alors qu'il célébrait la messe de Noël. Le montant exact du butin n'est pas connu, mais devait être important: il s'agissait des dernières quêtes.
Excédé par les effectifs insuffisants et après nombre d'avertissements restés sans réponse, le syndicat Force ouvrière des services d'incendie et de secours (SIS) de Haute-Vienne a déposé plainte pour "mise en danger de la vie d'autrui" auprès du procureur de la République de Limoges.
Une enquête a été ouverte après la découverte de tags anti-police dévoilant les informations personnelles de fonctionnaires à Châtenay-Malabry dans les Hauts-de-Seine. Des informations qui peuvent être récoltées par hasard par les auteurs des tags explique un policier sur RMC.
INFO RMC. Plusieurs tags anti-police ont été découverts à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine). Si ce n'est pas la première fois, ceux-ci révèlent des informations personnelles sur des membres de la brigade anti-criminalité. Les syndicats demandent une réponse rapide.
INFO RMC - Les parents d'un bébé de 7 mois et demi ont porté plainte le 9 décembre contre une crèche People and Baby de Metz pour "violence sur mineur". Le 30 novembre, ils avaient récupéré leur enfant l'œil "injecté de sang" et avec des traces de griffure. Le groupe conteste ces accusations.
Une personne est décédée et trois autres ont été blessées gravement après le crash d'un avion de tourisme, ce mercredi, près de l'aérodrome de Barcelonnette-Saint-Pons, dans les Alpes-de-Haute-Provence.
Des prisons françaises surpeuplées. Au 1er décembre, on recensait 72.836 détenus pour 60.698 places opérationnelles, soit une densité carcérale de 120%.
William M., l'homme suspecté d'avoir tué trois personnes et blessé trois autres à Paris vendredi dernier, venait de sortir de prison. Il avait été placé en détention provisoire en février pour avoir attaqué, trois mois plus tôt, un camp de migrants au sabre. Des questions commencent à se poser, notamment sur l'évaluation des risques de passage à l'acte de cet homme.
Un homme de 27 ans, qui était sous mandat d'arrêt international et recherché en France pour plusieurs vols a été arrêté et placé en garde à vue à Versailles. Problème: faute de disponibilité pour une comparution immédiate, il a été laissé libre. Reste à espérer qu'il se présente à son procès, prévu le 28 juin.
Saïd, frère aîné de la victime, et Me Marc Gallix, avocat de la famille d'Aymen, témoignent à notre micro du soulagement de la famille après l'arrestation du suspect dans l'affaire de la mort du jeune homme mort écrasé par une voiture à Montpellier durant les célébrations suivant France-Maroc.
TEMOIGNAGE RMC. Leila, mère de famille, vivant à Marseille, est une victime collatérale des fusillades qui a eu lieu ce week-end. Si elle n'a pas été blessée, il s'en est fallu de très peu. Des balles de Kalachnikov sont venues se loger dans les murs de son appartement. Depuis, elle est sous le choc.
L'homme suspecté d'avoir renversé un adolescent de 14 ans à Montpellier le soir de la demi-finale de la Coupe du monde a été mis en examen et écroué, ce mardi.
Les faits se sont déroulés dans les quartiers nord de la ville. Le conducteur est mort sur le coup et son passager est gravement blessé.
Un homme a été mis en examen et placé en détention provisoire après la découverte dimanche du corps, sans vie, de son épouse à leur domicile de Saint-Pierre-d'Eyraud (Dordogne).
La drogue, récupérée au Maroc, était destinée à l'Amérique latine mais le mauvais temps au niveau du détroit de Gibraltar a poussé les deux marins, deux Britanniques, à se réfugier dans la baie de Cadix.
La victime, qui avait trouvé refuge chez des voisins, a été admise aux urgences sans que son pronostic vital ne soit engagé. Selon les premiers éléments, aucune plainte antérieure à la tentative de meurtre n'avait été enregistrée.
Un garagiste véreux a été interpellé à Bouliac, près de Bordeaux (Gironde), fin décembre. Il est soupçonné d'avoir utilisé les véhicules de ses clients à des fins personnelles et surtout de ne pas avoir fait les réparations. Pire, il roulait sans permis.
Le chauffeur suspecté du véhicule qui a renversé et tué le jeune Aymen, 14 ans, a été interpellé ce mardi par la police judiciaire près de Perpignan.
Après la mort de trois Kurdes tués à Paris en pleine rue devant un centre culturel de la communauté vendredi, les autorités se refusent pour l'instant à qualifier l'acte d'attentat terroriste.
Agit Polat, porte-parole du Conseil démocratique Kurde en France était l'invité de RMC ce mardi matin. Il estime que la situation actuelle "laisse penser" que l'attaque de vendredi dernier était politique.
Trois personnes ont été tuées entre vendredi et dimanche à Marseille sur fond de trafic de drogue. Des victimes qui sont de plus en plus jeunes. Deux avaient seulement 22 et 20 ans. Un symbole du rajeunissement dans l'ultra-violence.
Les trois personnes tuées durant l'attaque dans le 10e arrondissement de Paris vendredi étaient toutes kurdes, de nationalité turque. L'une d'elle était une responsable du Mouvement des femmes kurdes en France.
Le parquet national antiterroriste a annoncé ce lundi que les deux principaux condamnés au procès de l'attentat de Nice ont fait appel du verdict.
Jean-Luc Mélenchon veut voir le parquet national antiterroriste se saisir de l'enquête sur le meurtre de trois Kurdes vendredi à Paris. Le leader de La France insoumise trouve "curieux" tout ce qui a suivi la libération récente du suspect, de son armement à son parcours jusqu'au drame.
Le 23 décembre 2022, une fusillade s’est produite dans le 10e arrondissement de Paris, rue d’Enghien. Un homme a ouvert le feu devant le centre culturel kurde, faisant trois morts et trois blessés dans la communauté kurde. Le suspect est âgé de 69 ans et est de nationalité français. Il venait de sortir de prison, le 12 décembre, où il se trouvait en détention provisoire après avoir attaqué au sabre un camp de migrants près de Bercy, un an plus tôt. Il s’est dit "raciste" et voulait s’en prendre à des étrangers. La communauté kurde, déjà frappée par un triple assassinat en janvier 2013 à Paris, a réagi avec émotion et colère. Des incidents ont eu lieu lors de manifestions d’hommage aux victimes. Les Kurdes accusent la Turquie d’acte terroriste, mais le parquet national antiterroriste ne s’est pas saisi au cours des premiers jours de cette affaire.
Trois jours après l'attaque à Paris qui a fait trois morts dans la communauté kurde, la garde à vue du suspect a été levée ce lundi. Il va être présenté à un juge d'instruction.
Une surveillante de 23 ans a été jugée pour avoir fait entrer illégalement des marchandises au sein de la prison dans laquelle elle travaillait. Elle a dit avoir besoin de cet argent pour payer une PMA avec sa compagne. Un argument qui ne tient pas, car cet acte lui est entièrement remboursé.
Après les violences qui ont émaillé plusieurs rassemblements en hommage aux victimes kurdes du triple assassinat de vendredi à Paris, le porte-parole du Conseil démocratique kurde en France, Agit Polat, promet que le dispositif de sécurité a été renforcé. Une nouvelle marche a lieu ce lundi.
Après l'attaque à Paris qui a fait trois morts dans la communauté kurde vendredi dernier, des spécialistes appellent la justice à étudier la piste terroriste. Et surtout celle des services secrets turcs.
Vendredi, un homme de 69 ans a ouvert le feu dans la rue d'Enghien dans le 10e arrondissement à Paris. Il a tué trois personnes et blessé trois autres. Parmi les victimes, une majorité sont de nationalité turque alors que le suspect a confié au cours de sa garde à vue avoir une "haine des étrangers".
Le Parquet de Paris a fait le point sur l’avancée de l’enquête, dimanche midi, suite à l’attaque perpétrée contre la communauté kurde à Paris. L’assaillant a reconnu avoir une “haine pathologique des étrangers”, et voulait initialement "commettre des meurtres sur des personnes étrangères" à Saint-Denis.
De nouveaux tirs par arme à feu ont résonné dans la Cité phocéenne samedi soir, faisant deux blessés. Le pronostic vital d’une des deux personnes est engagé. Les faits se sont déroulés proche de l’endroit où un homme de 22 ans avait été tué par balles la veille.
L’état de santé du tireur ayant tué trois personnes kurdes à Paris vendredi, rue d’Enghien (Xème arrondissement), a été jugé incompatible avec le régime de garde à vue. Cette dernière a été "levée dans l'attente de sa présentation devant un juge d'instruction lorsque son état de santé le permettra", a ajouté le parquet.
Samedi midi, des centaines de personnes se sont rassemblées sur la place de la République et sur le boulevard du Temple, à Paris, en hommage aux victimes de la fusillade survenue vendredi midi devant les locaux du Conseil démocratique kurde en France.
Dans la nuit de vendredi à samedi, une résidence secondaire de Selles (Eure) s'est embrasée, provoquant la mort de deux enfants d'une dizaine d'années chacun. Un troisième enfant a pu être réanimé mais reste en "urgence absolue".
Le porte-parole du Conseil démocratique kurde en France (CDKF), Agit Polat, était invité à réagir à la fusillade de la rue d’Enghien, au lendemain des faits. Dans la Matinale Weekend, Agit Polat qualifie le drame “d’attentat terroriste”.
"Le Serpent" va faire l'objet de vérifications d'identité, avant de pouvoir sortir libre de l'aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle où il est arrivé samedi matin en provenance de Doha (Qatar).
L'homme qui a tué trois personnes et fait trois blessés hier à Paris, rue d’Enghien, est toujours en garde à vue, celle-ci ayant été prolongée samedi midi selon le parquet. Ce samedi, on en sait un peu plus sur sa personnalité et ses antécédents judiciaires puisqu'il était déjà connu de la justice.
Le ministre de l'Intérieur s'est rendu cet après-midi sur les lieux de la tuerie survenue ce vendredi, dans le 10e arrondissement de Paris. Il a indiqué que le tireur a "manifestement voulu s'en prendre à des étrangers".
Les corps sans vie d'un homme de 80 ans et de sa belle-fille ont été retrouvés dans leur domicile de Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault). Un SDF de 38 ans, soupçonné d'être l'auteur du meurtre, a été interpellé.
Alors que Gérald Darmanin venait de finir de s'exprimer après l'attaque dans le 10e arrondissement de Paris ce vendredi, des heurts ont éclaté. Les forces de l'ordre sont prises à partie par des dizaines de personnes.
Expulsé vers la France après avoir été libéré de prison au Népal, où il avait été incarcéré pour deux meurtres, le tueur en série Charles Sobhraj, dit "Le Serpent", a assuré être innocent.
Une fusillade a éclaté dans le 10e arrondissement de Paris, ce vendredi midi. Au moins trois personnes sont décédées et trois autres sont blessées. Le tireur présumé, âgé de 69 ans, de nationalité française et connu notamment pour avoir attaqué un camp de migrants, a été interpellé. Il venait de sortir de prison.
L'auteur présumé de la fusillade qui a fait trois morts, dans le 10e arrondissement de Paris ce vendredi, est un homme de 69 ans, de nationalité française. Il venait de sortir de prison, où il se trouvait en détention provisoire après avoir attaqué un camp de migrants à coups de sabre en décembre 2021.
Des coups de feu ont fait trois morts et trois blessés, dont un en urgence absolue, ce vendredi midi dans le 10e arrondissement de Paris. Un homme de 69 ans, déjà connu pour des antécédents judiciaires, a été interpellé par la police.